Patrick Blauwart
Patrick Blauwart suit la formation à l'INSAS à Bruxelles, puis à L'Ecole des Maîtres auprès d'Alfredo Arias, Dario Fo et Anatoli Vassiliev. Il participe à la création du collectif la Compagnie 9 à Bruxelles.
Parallèlement à ses activités d'acteur, il suit une formation en art et psychiatrie et dirige des ateliers dans des cliniques.
Il rejoint la compagnie les endimanchés en 2001 pour le spectacle Fragments complets, Woyzeck puis Faust ou la fête électrique et L'Opéra de quat'sous de Bertolt Brecht à la Clinique de la Borde.
Au théâtre, il a joué notamment avec Dominique Féret, Éric Didry, Odile Duboc, Olivier Besson, Edith Scob, Stanislas Nordey.
2007 Elizaviéta Bam de Daniil Harms, m.e.s. Alexis Forestier
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
De 1999 à hier - Patrick Blauwart
Le Monstre des H. western gothique
Echangeur, Bagnolet
du 4 au 13 nov. 2013
1h10
CONTEMPORAIN
Terminé
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De :
Richard Brautigan
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Mise en scène :
Mònica Espina
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Avec :
Jessica Gazon,
Patrick Blauwart,
François Tizon
Monica Espina vous invite à entrer dans un territoire où l'étrange semble être la règle et où les mots - comme une formule magique - réinventent la réalité.
Anomalies et perspectives
Echangeur, Bagnolet
du 2 au 5 oct. 2009
1 heure
CONTEMPORAIN
Terminé
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De :
Cécile Saint-Paul
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Mise en scène :
Cécile Saint-Paul
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Avec :
Anne Attali,
Patrick Blauwart,
Cécile Saint-Paul
"Un jour, un homme racontait une histoire, c’était aussi une très bonne histoire, et il en était très content, mais il la raconta si vite que personne ne la comprit." Louise Bourgeois
Embarras
Nouveau Gare au théâtre, Vitry-sur-Seine
du 9 au 13 juil. 2008
50 minutes
CONTEMPORAIN
Terminé
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De :
Cécile Saint-Paul
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Mise en scène :
Cécile Saint-Paul
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Avec :
Cécile Saint-Paul,
Anne Attali,
Patrick Blauwart,
Masto Heuer
Il y a des abîmes entre les gens. Quelques espoirs déçus. Des rencontres manquées entre les gens. Des attentes…
Elizaviéta Bam
Théâtre de la Bastille, Paris
CLASSIQUE
Terminé
-
De :
Daniil Harms
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Mise en scène :
Alexis Forestier
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Avec :
Marc Bertin,
Cécile Saint-Paul,
Patrick Blauwart,
Tomas Heuer,
Matthieu Bony
De l'Obériou, peut-être le plus méconnu des mouvements littéraires nés en Russie, il nous est resté le théâtre incomparable de Daniil Harms, dont le projet est d'atteindre “une réalité autre” née spontanément dans l'espace du plateau. Une recherche familière au théâtre d'Alexis Forestier, dont le parcours de Dada à Gertrude Stein devait forcément rencontrer un jour l'écriture de Danill Harms.
Cris
Comédie de Caen, Caen
du 13 au 17 févr. 2006
3h avec entracte
CONTEMPORAIN
Coup de cœur
Terminé
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De :
Laurent Gaudé
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Mise en scène :
Stanislas Nordey
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Avec :
Patrick Blauwart,
Michel Demiere,
Guillaume Doucet,
Olivier Dupuy,
Raoul Fernandez,
Damien Gabriac,
Laurent Méninger,
Bruno Pesenti,
Laurent Sauvage,
Pierre-Emmanuel Fillet,
Yves Ruellan,
Moanda Daddy Kamono
Cris est une plongée dans les tranchées de la Première Guerre Mondiale, dans ces nuits de terreur et de boue. C’est la voix des hommes en souffrance qui se fait entendre.
Cris
Théâtre Ouvert, Paris
du 21 mars au 23 avr. 2005
3h avec entracte
CONTEMPORAIN
Coup de cœur
Terminé
-
De :
Laurent Gaudé
-
Mise en scène :
Stanislas Nordey
-
Avec :
Patrick Blauwart,
Michel Demiere,
Guillaume Doucet,
Olivier Dupuy,
Raoul Fernandez,
Damien Gabriac,
Laurent Méninger,
Bruno Pesenti,
Laurent Sauvage,
Pierre-Emmanuel Fillet,
Yves Ruellan,
Moanda Daddy Kamono
Cris est une plongée dans les tranchées de la Première Guerre Mondiale, dans ces nuits de terreur et de boue. C’est la voix des hommes en souffrance qui se fait entendre.
Faust ou la fête électrique
Paris-Villette, Paris
du 26 sept. au 25 oct. 2003
1H40
CONTEMPORAIN
Terminé
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De :
Cécile Saint-Paul
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Mise en scène :
Alexis Forestier
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Avec :
Marc Bertin,
Patrick Blauwart,
Bruno Forget,
Sébastien Jacobs,
Marie Marfaing,
Barnabé Perrotey,
Cécile Saint-Paul
Faust ou la fête électrique, «opéra fait pour être chanté», se présente sous la forme d’un livret où s’articulent le langage parlé, les chansons, les parties chorales. Faust, inventeur de la lumière électrique, nourrit le sentiment d’avoir été trompé : il met en doute l’existence même de son âme, rejette ce qui l’entoure et refuse sa destinée. Méphisto apparaît d’emblée comme un imposteur inoffensif auquel Faust n’accorde guère
d’importance. Marguerite, incertaine de sa présence, ne rencontre pas véritablement Faust, mais semble peu à peu se substituer à lui, portée par la voix du choeur.