Faust ou la fête électrique

1 avis

Paris-Villette

Paris 19e

du 26 septembre au 25 octobre 2003

1H40

Donner mon avis Ajouter aux favoris

Faust ou la fête électrique

CONTEMPORAIN Terminé

De : Cécile Saint-Paul
Mise en scène : Alexis Forestier
Avec : Marc Bertin, Patrick Blauwart, Bruno Forget, Sébastien Jacobs, Marie Marfaing, Barnabé Perrotey, Cécile Saint-Paul

Faust ou la fête électrique, «opéra fait pour être chanté», se présente sous la forme d’un livret où s’articulent le langage parlé, les chansons, les parties chorales. Faust, inventeur de la lumière électrique, nourrit le sentiment d’avoir été trompé : il met en doute l’existence même de son âme, rejette ce qui l’entoure et refuse sa destinée. Méphisto apparaît d’emblée comme un imposteur inoffensif auquel Faust n’accorde guère d’importance. Marguerite, incertaine de sa présence, ne rencontre pas véritablement Faust, mais semble peu à peu se substituer à lui, portée par la voix du choeur.

Faust ou la fête électrique, «opéra fait pour être chanté», écrit en 1937, se présente sous la forme d’un livret où s’articulent le langage parlé, les chansons, les parties chorales.

Faust, inventeur de la lumière électrique, nourrit le sentiment d’avoir été trompé : il met en doute l’existence même de son âme, rejette ce qui l’entoure et refuse sa destinée. Méphisto apparaît d’emblée comme un imposteur inoffensif auquel Faust n’accorde guère d’importance. Marguerite, incertaine de sa présence, ne rencontre pas véritablement Faust, mais semble peu à peu se substituer à lui, portée par la voix du choeur.

Alexis Forestier signe la composition musicale et la scénographie de ce spectacle, poursuivant sa recherche amorcée dans Fragments complets, Woyzeck, présenté au Théâtre Paris-Villette en décembre 2002.
Son univers sonore est construit sur le mode musical de la ritournelle ; les mélodies répétitives ou motifs musicaux peuvent être chantés mais constituent également un support à l’écoute du texte.

Sélection d’avis du public

Faust ou la fête électrique Le 10 octobre 2003 à 10h36

Voici un spectacle bien déroutant, une seule envie: s'enfuir ou crier. L'oppression totale. J'aimerais comprendre pour peut être apprécier... Impossible, j'abdique et m'enfonce dans mon fauteuil en attendant veinement la fin. Des mélodies sous/sur des voix dissonantes. Des acteurs livides. Une pointe de poésie grâce à une mise en scène réfléchie (on n'oublie pas le côté "électrique" du titre) mais des mots répétés à l'infini pour former un champ lexical d'à peine 10 termes (impression). Bon courage, j'aimerai connaître des avis positifs...

Afficher + d’avis