Philippe Minyana a écrit depuis 1979 une trentaine de pièces de théâtre qui ont été éditées et plusieurs de ses textes ont été diffusés sur France Culture et France Inter. Il a exercé parallèlement le métier de comédien et de directeur d’acteurs. Il a été artiste associé du Théâtre National de Dijon Bourgogne dirigé par Robert Cantarella de 2000 à 2006.
Deux pièces, Chambres et Inventaires ont été inscrits au programme du baccalauréat pour l’option théâtre (2000-2001).
La plupart de ses pièces a paru aux Éditions Théâtrales. À partir de janvier 2008, Philippe Minyana est publié chez l’Arche Éditeur.
Philippe Minyana a reçu le prix théâtre de l’Académie Française en 2010. Il a été élevé au grade d’officier des Arts et Lettres.
- Aux Editions théâtrales : Fin d’été à Baccarat, Ruines Romaines, Quatuor, Chambres, Inventaires, Les Guerriers, Où vas-tu Jérémie ?, Volcan, André, Salle des fêtes, Histoires, Drames brefs (I), Drames brefs (II), La Maison des morts, Portraits, Habitations (à paraitre), Pièces (à paraitre)
- A l’Avant-Scène : Le Dîner de Lina, Gang, Boomerang et Inventaires
- Actes Sud-papiers : Les Petits Aquariums Description in Théâtre contre l’oubli
- Aux éditions Théâtre Ouvert / Tapuscrit : Anne-Marie
- Aux éditions Press Pocket : Descriptifs
- Aux Editions Musica : Jojo
Ses pièces ont été mises en scène principalement par Viviane Théophilidès, Carlos Wittig, Alain Françon, Robert Cantarella, Stéphanie Loïk, Michel Didym, Edith Scob, Catherine Hiegel, Philippe Sireuil, Laurent Javaloyes et Pierre Maillet, Jarg Pataki etc. Trois d’entre elles ont déjà été montées à Théâtre Ouvert : Cartaya, par Viviane Théophilidès (1980), Les Guerriers (1990) et Drames brefs 1 (1995) par Robert Cantarella.
Philippe Minyana a été, en 1994, à Théâtre Ouvert, l’animateur de Théâtre en chantier I (mise en espace de textes de Joseph Danan, Claudine Galea, Yedwart Ingey et Christophe Martin) et le coordinateur de Théâtre en chantier, deuxième mouvement (mise en espace de J’étais dans ma maison et j’attendais que la pluie vienne de Jean-Luc Lagarce par Robert Cantarella et de Si vous êtes des hommes ! de Serge Valletti par Michel Cerda. Il a aussi animé avec Enzo Cormann et Noëlle Renaude un autre Chantier de Théâtre Ouvert ( n°4) / Pratiques d’auteurs, en 1996, autour de textes de Michel Vinaver et de lui-même.
- A la Revue du Théâtre " Wagon "
- Les Cahiers de Prospero " Effigie "
- Une femme de Philippe Minyana, m.e.s. Martial Di Fonzo Bo
Jean Babilée photos, aux éditions Marval
El Principe constante de Calderon
El Cerco de Numance de Cervantès en collaboration avec Jean-Jacques Préau, mise en scène de Robert Cantarella, Festival d’Avignon, Maison de la Culture d’Amiens, Théâtre du Rond-Point, 1992.
Commentaires et Jojo, musique et mise en scène Georges Aperghis
Leone, mise en scène de Philippe Mercier, musique Philippe Mion, SaarbrŸck, Thionville,1993.
Anne-Laure et les fantômes, mise en scène Robert Cantarella, musique Les trois 8, Théâtre Gérard Philipe de Saint-Denis,1999.
André (opéra de chambre), musique et mise en scène Marin Favre
Les Trois 8
Madame Scotto, réal. Claude Mourieras, La Sept, 1987.
Inventaires, réal. Jacques Renard, La Sept, FR3,1991.
André, réal. Jacques Renard, Arte, 1992.
Papa est monté au ciel, réal. Jacques Renard, Arte,1998.
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
Théâtre de la Ville-Sarah Bernhardt, Paris
Deux amis plongent dans des boîtes de photographies en vrac. Ils portent le prénom des acteurs qui les incarnent, Laurent Charpentier et le grand Hugues Quester. Philippe Minyana a fait théâtre de ses « Fantômes » pour eux.
Points communs - Théâtre 95, Cergy
Sur le berceau de Raoul né à El Tránsito au Salvador, les fées se sont penchées. Fée n°1 : Mama Betty, sa mère, qui lui donne le goût des costumes. Mais la couture, c’est Paris… La fée n°2 y apparaît, sous les traits d’un certain Copi. À l’Opéra, la fée n°3, c’est Rudolf Noureev. Au Théâtre Gérard Philipe, la fée n°4, Stanislas Nordey, fait passer Raoul des coulisses à la scène. Raoul s’est toujours cherché et il s’est toujours trouvé. Il a appris la langue de Molière en apprenant tout Molière. La fée n°5, Marcial Di Fonzo Bo, le met en scène et en lumière.
Théâtre Ouvert, Paris
Est est un chant à deux voix spécialement écrit pour Nicolas Maury. L’épopée d’un rescapé qui revient au monde.
Déchargeurs, Paris
Un mythe ancien, cruel et étrange, raconté par deux actrices dans une forme contemporaine, accompagnées de bruitages et de chants. À partir de 14 ans.
Théâtre La Flèche, Paris
Il est minuit ce mercredi et Babette nous raconte sa journée. Une journée à marquer d’une pierre blanche.
Théâtre des Quartiers d'Ivry, Ivry-sur-Seine
Entre farce tragique et drame burlesque, Philippe Minyana reconstitue par petites touches précises et drôles ce qui fait le sel mais aussi la mélancolie de la vie humaine. Entre joie et stupeur, il tisse un spectacle parlé et chanté en forme d’oratorio ou d’opéra bouffe sur la beauté du monde et les ravages du temps. À partir de 15 ans.
Espace Pierre Cardin (Théâtre de la Ville), Paris
Un conte cruel inspiré d’Ovide où, sous l’apparente innocence de l’enfance, se déchaînent des instincts monstrueux. En grec surtitré en français.
Espace Pierre Cardin (Théâtre de la Ville), Paris
De haute mémoire, Laurent Charpentier habite les demeures de Philippe Minyana. L’auteur a écrit pour lui sa nouvelle épopée intime.
Théâtre Silvia Monfort, Paris
Sur le berceau de Raoul né à El Tránsito au Salvador, les fées se sont penchées. Fée n°1 : Mama Betty, sa mère, qui lui donne le goût des costumes. Mais la couture, c’est Paris… La fée n°2 y apparaît, sous les traits d’un certain Copi. À l’Opéra, la fée n°3, c’est Rudolf Noureev. Au Théâtre Gérard Philipe, la fée n°4, Stanislas Nordey, fait passer Raoul des coulisses à la scène. Raoul s’est toujours cherché et il s’est toujours trouvé. Il a appris la langue de Molière en apprenant tout Molière. La fée n°5, Marcial Di Fonzo Bo, le met en scène et en lumière.
Théâtre Silvia Monfort, Paris
Sur le berceau de Raoul né à El Tránsito au Salvador, les fées se sont penchées. Fée n°1 : Mama Betty, sa mère, qui lui donne le goût des costumes. Mais la couture, c’est Paris… La fée n°2 y apparaît, sous les traits d’un certain Copi. À l’Opéra, la fée n°3, c’est Rudolf Noureev. Au Théâtre Gérard Philipe, la fée n°4, Stanislas Nordey, fait passer Raoul des coulisses à la scène. Raoul s’est toujours cherché et il s’est toujours trouvé. Il a appris la langue de Molière en apprenant tout Molière. La fée n°5, Marcial Di Fonzo Bo, le met en scène et en lumière.