Carta Blanca est une sorte d’anthologie où Andrés Marín est plus libre que jamais. Portée par les voix complices de José Valencia et Segundo Falcón et un groupe musical très éclectique (guitare, clarinette ou vielle à roue), c’est toute sa galaxie intime, dessinée au fil du temps, qui tournoie sous nos yeux. Dès 12 ans.

La Villette prend, le temps d’un week-end, des allures de fête flamenca réunissant danseurs et musiciens exceptionnels dans une ambiance de village sévillan.

Voici l’un des artistes les plus saisissants, les plus remarquables du flamenco actuel. Il s’est emparé de la tradition pour créer sa propre esthétique, d’une absolue contemporanéité. Andrés Marín ne danse pas le flamenco, il le vit. Accompagné de la voix de Segundo Falcon et de la guitare de Salvador Gutierrez, il brûle d’une passion dévorante et communicative.

Une soirée en deux parties :  un ballet flamenco de Javier Barón suivi par Carmen Linares qui nous entraîne à l'essence du "cante jondo"

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