Plongez dans une atmosphère psycho-délirante à travers un dispositif scénique où s'entremêlent la folie des artistes et celle des spectateur.
Venez découvrir la première étape de création d'Amok, librement inspirée de l'oeuvre de St. I. Witkiewicz, avec un quatuor musical et une vingtaine d'artistes en action sur scène.
Elizabeth Czerczuk explore le désordre de nos inconscients, dans une expérience cathartique puissante, expression d'une méta-forme théâtrale abolissant la barrière entre émetteur et récepteur.
« La nouvelle création d’Elizabeth Czerczuk entraine sa troupe virtuose dans les abîmes de l’amok, emprise mentale destructrice venue d’Asie. Musiciens, danseurs et comédiens se plient à ses effets dans un bal hypnotisant qui témoigne d’une incroyable maitrise des genres. Un moment hors du temps que l’on conseille fortement. » La Terrasse
Élizabeth Czerczuk reste fidèle à sa démarche de théâtre chorégraphié. Amok n’est pas ici une référence au roman de Stefan Zweig mais a le même sens que dans celui-ci, à savoir qu’il désigne une forme de folie. La trame de base repose ici sur le mythe d’Orphée et Eurydice. Élizabeth Czerczuk nous livre – il me semble que c’est nouveau – un livret explicitant ses intentions et donnant le « déroulement du spectacle » en quatorze tableaux. Le lien entre ces tableaux et le spectacle n’est pas direct et explicite comme il l’est habituellement au théâtre mais plutôt celui qu’on trouve plus couramment dans la danse contemporaine. Orphée, Eurydice et les peuples des Enfers nous donnent une formidable histoire de folie, d’amour et de mort, magnifique ballet expressionniste.
Remarquable Comme toujours Elizabeth Czerczuck procède, dans son travail, par étape. Cette deuxième étape d’Amok, avant la première, donne un avant-goût de ce que sera le spectacle final. Des scènes prenantes dont une fait penser au radeau de la Méduse ; une autre nous fait penser à un fleuve humain serpentant sur le sol. Après Yvona la créatrice nous montre toute l’étendue de son talent. De mois en mois, d’années en années, elle hisse de plus en plus haut son art. Bravo.
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Élizabeth Czerczuk reste fidèle à sa démarche de théâtre chorégraphié. Amok n’est pas ici une référence au roman de Stefan Zweig mais a le même sens que dans celui-ci, à savoir qu’il désigne une forme de folie. La trame de base repose ici sur le mythe d’Orphée et Eurydice. Élizabeth Czerczuk nous livre – il me semble que c’est nouveau – un livret explicitant ses intentions et donnant le « déroulement du spectacle » en quatorze tableaux. Le lien entre ces tableaux et le spectacle n’est pas direct et explicite comme il l’est habituellement au théâtre mais plutôt celui qu’on trouve plus couramment dans la danse contemporaine. Orphée, Eurydice et les peuples des Enfers nous donnent une formidable histoire de folie, d’amour et de mort, magnifique ballet expressionniste.
Remarquable Comme toujours Elizabeth Czerczuck procède, dans son travail, par étape. Cette deuxième étape d’Amok, avant la première, donne un avant-goût de ce que sera le spectacle final. Des scènes prenantes dont une fait penser au radeau de la Méduse ; une autre nous fait penser à un fleuve humain serpentant sur le sol. Après Yvona la créatrice nous montre toute l’étendue de son talent. De mois en mois, d’années en années, elle hisse de plus en plus haut son art. Bravo.
20, rue Marsoulan 75012 Paris