Avis de turbulences 2019 - Soirées partagées

• Pour que la danse ne vous laisse surtout pas indifférent !

Pour cette nouvelle édition nous voulons vous montrer la diversité et l’effervescence de la danse d’aujourd’hui. Vous pourrez découvrir 16 jeunes compagnies, entre hip hop et contemporain, entre sensible et énergique, entre humour et réflexion.

Nous vous offrons un espace ouvert à l’exploration pour que la danse vous passionne, vous transporte ou vous dérange, mais qu’elle ne vous laisse surtout pas indifférent !

• Calendrier des soirées partagées

Mardi 8 octobre à 20h30 : Ga, Ga, Ga (Protostar) / Boomerang / Au pire on meurt

Jeudi 10 octobre à 20h30 : Ga, Ga, Ga (Lambda) / Bye bye myself / Pode ser

Samedi 12 octobre à 20h30 : Ga, Ga, Ga (Zeta) / De si loin j'arrive

Mardi 15 octobre à 20h30 : Split Screen / Une émotion – une pièce matérialiste (volet 2)

• Les spectacles

Ga, Ga, Ga (Protostar)
Chorégraphie : Charlie-Anastasia Merlet Interprétation : Anthony Roques, Benjamin Forgues, Charlie-Anastasia Merlet
GAGAGA est une suite de 3 soli. Protostar performe sa brillance. Lambda s’embrouille dans une danse complexe. Zeta surfe sur le plaisir. Par la brillance de Protostar, la complexité de Lambda, et le plaisir de Zeta, GAGAGA décompose la notion de virtuosité.

Boomerang
Chorégraphie et interprétation : Lotus Eddé Khouri & Christophe Macé
Lotus Eddé Khouri et Christophe Macé collaborent depuis 2014 sous le nom de Structure-Couple. Ils explorent la radicalité du geste visuel, musical et chorégraphique à travers une série de miniatures, chacune construite à partir d’une chanson remixée par le musicien et compositeur Jean-Luc Guionnet.

Au pire on meurt
Chorégraphie : Déborah Moreau Interprétation : Déborah Moreau et Marie Marcon
Cette pièce est née d’une envie de partager la scène à deux et de sonder le risque inhérent à cette cohabitation. Les interprètes se bousculent et se retiennent comme pour se provoquer et s’inciter à la résistance.

Ga, Ga, Ga (Lambda)
Chorégraphie : Charlie-Anastasia Merlet Interprétation : Anthony Roques, Benjamin Forgues, Charlie-Anastasia Merlet
GAGAGA est une suite de 3 soli. Protostar performe sa brillance. Lambda s’embrouille dans une danse complexe. Zeta surfe sur le plaisir. Par la brillance de Protostar, la complexité de Lambda, et le plaisir de Zeta, GAGAGA décompose la notion de virtuosité.

Bye bye myself
Chorégraphie et interprétation : Mehdi Baki et Nicolas Fayol
Au début il y a le désir de communiquer dans une langue que nous seuls comprenons, et que les autres, nous voyant la parler, croient comprendre. C'est la langue du jeu, de l’appel, du regard. Chaque geste attend son écho, et en chaque répercussion se retrouve le premier enjeu : comment être ensemble ?

Pode ser
Chorégraphie et interprétation : Leïla Ka
Pode Ser nous parle, à travers le corps rageur d’une danseuse, de tout ce qu’on a été, les rôles qu’on a joués, certains assignés ; et de ce qu’on aurait pu être, peut-être… Un solo percutant sur la difficulté d’être soi, qui a trouvé en quelques mois une reconnaissance internationale.

Ga, Ga, Ga (Zeta)
Chorégraphie : Charlie-Anastasia Merlet Interprétation : Anthony Roques, Benjamin Forgues, Charlie-Anastasia Merlet
GAGAGA est une suite de 3 soli. Protostar performe sa brillance. Lambda s’embrouille dans une danse complexe. Zeta surfe sur le plaisir. Par la brillance de Protostar, la complexité de Lambda, et le plaisir de Zeta, GAGAGA décompose la notion de virtuosité.

De si loin j'arrive
Chorégraphie et interprétation : Julie Salgues
De si loin, j’arrive investigue la relation entre interprète et chorégraphe. Ces deux soli résultent de la longue collaboration entre la danseuse Julie Salgues et les chorégraphes D. Brun et N. Collantes.

Split Screen
Chorégraphie : Liam Warren - Compagnie warren Interprétation : Aurélien Charrier et Erik Lobelius
Split Screen creuse l’interstice entre l’ici du corps et l’ailleurs de l’imaginaire. Deux hommes évoluent dans des territoires séparés, délimités par la lumière. L’espace entre ces deux corps brouille leur forme, et opacifie la distinction entre le réel et le fantasmé. Dans une temporalité ambiguë, l’absence de l’autre ouvre un espace de jeu, une évolution permanente des formes.

Une émotion – une pièce matérialiste (volet 2)
Chorégraphie : Fernando Cabral Interprétation : Muriel Bourdeau et Fernando Cabral
Cette création est le deuxième volet d'un triptyque chorégraphique, que Fernando Cabral a initié en 2016 interrogeant l'expérience physique des émotions à travers la figure de la chute. En puisant dans la matière, le poids et la gravité du corps, il cherche à révéler la puissance de l'abandon et de l'effondrement physique, pour en fabriquer une écriture chorégraphique de l'affect.