A l’occasion de son 25e anniversaire, Bratsch vous convie à venir découvrir quelques morceaux et à réentendre des chansons plus anciennes qui ont fait leur succès, dans un nouveau spectacle et une nouvelle mise en scène.
A l’image de leurs inspirations gitanes et des musiques d’Europe centrale qui les passionnent depuis le milieu des années 70, les cinq musiciens de Bratsch sont des voyageurs invétérés. Le groupe formé de Dan Gharibian à la guitare, Bruno Girard au violon, Pierre Jacquet à la contrebasse, François Castiello à l’accordéon et Nano Peylet à la clarinette, joue une musique forgée dans le klezmer juif, les standards tziganes, arméniens, jazz et le musette.
Bratsch, nom allemand du violon alto et terme tzigane désignant le contretemps, est un énergique brassage de cultures et de bonne humeur où l’on peut retrouver des chansons chantées en roumain, en yiddish ou même en grec. Après onze albums de cette fusion très personnelle, leur dernier disque Plein du Monde regroupant toute la scène de la chanson française illustre parfaitement la force de leur musique et atteste de la grandeur de leur aura dans le milieu des musiciens français.
"Des potes, l’envie de se tenir chaud, une amitié indéfectible, une passion, et la musique… Colonne vertébrale de ce bien singulier quintet…Voici l’histoire vraie d’une bande de pirates d’eau douce. De gentils de grands chemins qui fêtent cette année leurs 25 ans : Les Bratsch.
25 ans à faire des disques. Pas des tonnes. Une petite douzaine en fait. 25 ans d’un tour du monde désordonné, bruyant, gai et coloré. 25 ans qu’en traînant leur bonne humeur dansante de gitans célestes sur la sono mondiale ils se sont fait des amis, des frères d’armes, des cousins, des bébés.
25 ans, ca se fête. Alors ils ont décidé de nous offrir Plein du monde."
Eric Jean-Jean
« Mélange joyeux et mélancolique de rythmes tsiganes, d’envolées jazzy et de chanson française, la musique de l’orchestre Bratsch, ces magiciens de la fête, transporte un message sérieux sans se prendre au sérieux. Un cocktail épicé. » Antoine Faure, La Vie, novembre 2001
« Excellents musiciens, inventifs, virtuoses, les Bratsch se jouent des frontières géographiques autant que musicales même si le répertoire tsigane et celui des Balkans forment l’épine dorsale de leur tour de chant. » Patrick Labesse, Le Monde, novembre 2003
« Passant des larmes de l’exil aux éclats de joie de l’amour, le spectateur, submergé de sentiments, est mis à mal. Mais il en redemande. Tsigane, quand tu nous tiens… » A.G., La Voix du Nord, août 2002
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