Cabaret Liberté !

• Fonder « le Parti du Rire »

Dans l’ambiance d’un cabaret, les mots, l'humour, les notes et la magie tenteront de trouver la source des « idées neuves », celles peut-être propres à fonder une nouvelle Utopie, et le Parti du Rire.

A la croisée du cabaret politique, du cabaret chansonnier et du music-hall, le Cabaret Liberté redécouvre avec humour des auteurs impertinents, parfois jugés libertaires, tels que Devos, Mirbeau, Courteline... qui croiseront la route de chanteurs insolents comme Brassens, Higelin, Brel, La Maison Tellier et même, plus insolite, celle de Margareth Thatcher... Tous nous interrogent : sommes-nous certains de nos certitudes ?

• La presse

« Vive la liberté ! Un cabaret original car il est très politique et très poétique à la fois. La metteure en scène, Charlotte Rondelez ne nous assène pas de leçons. Elle ouvre des voies pour que l'on réfléchisse, que l'on ne se contente pas des apparences, que l'on trouve sa liberté. Il y a dans ce spectacle quelque chose de tonique, de franc qui donne de l'énergie par le talent même des interprètes et le choix très pertinent de ce qu’ils nous disent. » Armelle Héliot, Le Figaroscope

« Y a pas à dire les comédiens et comédiennes ont du métier, de la niaque à en revendre, ils vous vendraient des bouts de ficelle, vous attaqueraient là où ça fait mal ! Ils ne sont pas maso, non, non, ces spectateurs qui en redemandent de cette eau bénite anarchique ! Ils ont pour guide une meneuse de revue très inspirée Charlotte Rondelez adoubée si jeune par la Fée Imagination. Faites-vous donc plaisir, Chers spectateurs, allez donc sans crainte à la rencontre de ces culbuteurs de la pensée commune et des lois en tout genre qui donnent de l’arthrite, soyez volants, poètes ! » Evelyne Trân, Le Monde

« A la croisée du cabaret politique et du music-hall, fidèle à l’âge d’or de Montparnasse, la troupe invite le public à faire le pari du « rêve et de l’imagination ». Quatre comédiens, Céline Espérin, Sylvain Katan, Charlotte Rondelez, Pierre Val et un pianiste, Vadim Sher, s’interrogent sur le sens de la vie. Pour cela ils convoquent Bian, Bakounine, Brel, Despentes, Devos, Brassens… Un spectacle où l’absurde flirte avec la poésie.  » E. C., Le Parisien

« Un piano dans un coin – avec bien évidemment son pianiste –, quelques tabourets et quatre comédiens : il ne faudra pas plus au Cabaret Liberté ! pour nous enchanter. La metteur en scène et comédienne Charlotte Rondelez la désignera d’ailleurs comme une croisée des chemins, puis comme un isoloir et enfin comme une boîte où volettent des idées, matérialisées en avions de papier, des pensées aussi oniriques qu’abstraites, qui vont prendre la forme de sketchs. Ce drôle de cabaret s’apparente finalement à une machine à voyager dans le temps.  » P.G., Vanity Fair

« Chansons truculentes et scénettes décomplexées s’enchainent dans un rythme effréné. A la fois hommage aux grands noms de la satire et moment d’évasion loin de l’actualité grisâtre, Cabaret Liberté surprend et enchante une audience pas du tout préparée à autant de folie douce. La mise en scène de Charlotte Rondelez fait la part belle aux qualités comiques des comédiens pour s’écarter de leur texte et rebondir sur les réactions des spectateurs, augmentant d’autant la complicité et la collusion. Cabaret Liberté réussit, la performance d’emporter dans sa loufoquerie toute l’assemblée attablée dans une ambiance de music-hall désopilant. Le but est atteint et les applaudissements finaux confirment le succès de cette folle entreprise. » Stanislas Claude, Publik'Art

« Une simplicité et un enthousiasme qui font plaisir à voir ! Tout passe d’un texte à une autre, ou une chanson, avec aisance et énergie. Un cabaret extraordinaire, foisonnant et en ébullition tantôt impertinent, intelligent ou déjanté qui célèbre avant tout la pensée. Un spectacle roboratif permettant de brasser les idées et de faire entrer à l’intérieur de nos têtes une belle bouffée d’air frais. » Nicolas Arnstam,Froggy's Delight

« Ce cabaret tout en joyeusetés résonne comme un cri de révolte dans la nuit politique. Cinq artistes sont réunis pour nous rappeler à l'impératif des utopies. » Maïlys C., sortiraparis

« Des critiques, des coups de coeur, des coups de gueule ! Des âneries, aussi... Beaucoup ! Pour notre plus grand plaisir, le « petit » Poche-Montparnasse s'est transformé en véritable cabaret. Un cabaret, avec quatre comédiens-chanteurs-magiciens et un pianiste. Pendant deux heures, ce quintet de choc va nous faire réfléchir sur le concept de liberté et va faire vaciller nos certitudes en matière d'utopie libertaire. Un spectacle tout à fait étonnant, détonnant et décapant qui a le grand mérite de mettre en abyme nos propres certitudes. Un spectacle plein d'humour, d'émotion et de poésie. Et par les temps qui courent... » Yves Poey, De la cour au jardin

« Votre vie millimétrée vous asphyxie ? Aucun doute vous avez besoin d'une sortie de piste, Charlotte Rondelez et son équipe vous embarquent dans une sorte de république de l'Utopie où tout est articulé pour rire, mépriser les dogmes et bousculer les postulats. [...] Politique, satirique et poétique, ce cabaret est une ode à la liberté. » A NOUS Paris ●●●●○

« Un hommage réjouissant à la pensée libre et sans entrave ! De chansons en textes revisités, sa joyeuse troupe dissèque la société en enchaînant sketchs et personnages au son du piano qui l'accompagne. Attablé, on sirote son verre entre deux éclats de rire, trinquant à la révolte et aux rêves d'utopie. » Télérama Sortir TT

« Autant que vous le sachiez tout de suite, attendez-vous à passer une bonne soirée, pleine de surprises, au Cabaret Liberté ! (…) C’est un cabaret politique, tout en joyeusetés, où résonne un cri de révolte… caustique mais pas cynique. Ici, là-bas… ailleurs, vous serez à la croisée des chemins entre spectacle de chansonnier et du music-hall, cirque, magie… Oui magie ! (…) Et comme les auteurs sont impertinents, libertaires, maniant l’humour absurde, autant que les spectateurs soient à la hauteur. Passée la surprise, on n’a qu’une envie, c’est de revenir au plus vite participer, et non assister, à ce spectacle interactif, jamais le même chaque soir. C’est assez insolite, il faut bien le dire, et même déconcertant... La preuve, ils nous demandent vraiment notre avis. Sans s’écouter parler pour ne rien dire. Un spectacle riche, qui résonne une fois rentrés chez soi. Sommes-nous certains de nos (in)certitudes ? » Guillaume Cherel, La Grande Parade