Victor Julien-Laferrière en bonne compagnie et un dialogue autour de Beethoven et Schumann.
Un an après leurs débuts sur les planches du Théâtre des Champs-Elysées, Victor Julien-Laferrière et son orchestre Consuelo reviennent Avenue Montaigne en compagnie de Beethoven. Où la Symphonie n°4, que le Français Castil-Blaze décrivait en 1838 comme un « rayon de soleil arrivant après un orage épouvantable », dissipera les accents ô combien dramatiques de l’ouverture Coriolan qui vous accueillera.
En ce qui concerne le Concerto pour violoncelle et orchestre de Schumann intercalé entre les deux, le soliste pense qu’il faut y entendre « l’idée d’un être seul avec ses pensées, en conversation avec la nature ». Dialogue qu’il tissera pour sa part avec ses acolytes, bande de chambristes confirmés.
Beethoven Coriolan, ouverture op. 62
Schumann Concerto pour violoncelle et orchestre op. 129
Beethoven Symphonie n° 4 op. 60
15, avenue Montaigne 75008 Paris