Marquée par le fait que notre société moderne semble avoir oublié les rituels de partage des émotions ou qu’elle juge celles-ci comme des faiblesses, Sanja Kosonen souhaite s’emparer de la thématique des pleurs. Elle explore la rivière profonde de l’être humain, son humanité, son absurdité et sa maladresse devant ses propres émotions dans une forme pluridisciplinaire mêlant la danse, le chant, les arts du cirque et les arts plastiques.
En 2007, Sanja Kosonen participe à un stage de « pleurs chantés » en Finlande, organisé par quelques chanteuses contemporaines qui font revivre et réinventent la tradition oubliée des pleureuses de Carélie. Ces chants improvisés se pratiquaient seule dans la forêt ou collectivement lors de rites de passages.
Marquée par le fait que notre société moderne semble avoir oublié les rituels de partage des émotions ou qu’elle juge celles-ci comme des faiblesses, Sanja Kosonen souhaite s’emparer de la thématique des pleurs. Elle explore la rivière profonde de l’être humain, son humanité, son absurdité et sa maladresse devant ses propres émotions dans une forme pluridisciplinaire mêlant la danse, le chant, les arts du cirque et les arts plastiques.