Synopsis
Note d’intention
Les personnages
Note scénographique
Interview de Eve Claudel
Interview de Jean Rieffel
Interview de Arnaud Guy
Interview de Thierry Humbert
Haddock Grillé
Jacques et sa femme, Martine, donnent un dîner en l’honneur d’une célébrité, et ils ont la tête ailleurs. Ils n’ont pas le temps de se poser les questions capitales.
Fred, le frère de Martine, ne voit pas l’intérêt de s’en poser.
Georges, l’ami de longue date de Jacques, s’en pose à tout bout de champ, à l’endroit et à l’envers, et ça n’avance à rien.
Et Marilyn, la petite amie de Fred, ne savait même pas que ça existait des questions pareilles.
Il y a une question que chacun se pose. Qui est-il, cet invité célèbre ? Une future relation, un ancien ami, un possible amant, un ex-mari, ou un imbécile de passage ?
Au salon, où la fête se donne, vous pourriez trouver quelques réponses faciles. Mais c’est dans la cuisine que la pièce se joue.
Synopsis écrit par Agnès Jaoui & Jean-Pierre Bacri
extrait de l’édition l’Avant-Scène théâtre
1er Octobre 1991
Eve Claudel, Arnaud Guy, Thierry Humbert et Jean Rieffel, réunis par Cathy Guillemin (metteur en scène) s’apprêtent à jouer la pièce d’Agnès Jaoui et de Jean Pierre Bacri : Cuisine et dépendances.
Fasciné par la justesse de cette écriture vraie et l’humour avec lequel y sont abordées des situations quotidiennes qui nous touchent, le metteur en scène a décidé de donner à nouveau au public le plaisir d’entendre cette pièce, d’en rire et d’en tirer un certain nombre de réflexions.
Prisonniers de leur immense solitude et réunis par un dîner, les personnages de Cuisine et dépendances qui portent tous au salon le masque du « paraître bien » se dévoilent petit à petit dans la cuisine où apparaissent les symptômes de leur mal-être respectif. On peut voir que d’un agacement passager à une mauvaise humeur maladive, que de la surexcitation incontrôlable à la crise de larmes prévisible, ces personnages à la fois complexes et transparents dressent le passionnant tableau d’une génération parisienne de classe moyenne, et tourmentée par le désir de réalisation personnelle, de réussite sociale, et la difficulté de chacun à vivre avec l’autre ou tout simplement avec soi-même.
La pièce fait vivre des personnages souvent émouvants, parfois drôles en quête d’un (im)possible bonheur.
Leurs comportements sont si empreints d’humanité et de quotidienneté que les découvrir et les jouer est un réel bonheur pour les comédiens.
Cuisine et dépendances fut à l’époque merveilleusement bien jouée par ses auteurs, et cette pièce qui offre d’innombrables possibilités d’interprétation présente également une multitude de situations théâtrales que la troupe est heureuse d’explorer à son tour.
En effet pour le metteur en scène, il ne s’agit pas de refaire ce qui a déjà été fait - et de surcroît très bien fait - mais bel et bien d’inventer encore à partir de cet univers passionnant et surprenant.
Si notre société prône l’individu et apporte avec lui son lot de désillusions, il apparaît alors d’autant plus intéressant pour de jeunes comédiens de se plonger dans cette atmosphère de futilité et de vanité des choses qui à l’époque soulignait déjà un regard très amer de la société moderne.
Les auteurs qui ont connu cette aspiration à changer le monde avec les « évènements de 68 » pouvaient vouloir montrer que finalement rien ou peu de choses avaient changé. Il était intéressant de constater que de jeunes comédiens totalement étrangers à la culture d’un renouveau brutal se reconnaissent dans ces personnages. Ces derniers démontrent finalement la permanence des sentiments des hommes et des femmes en butte à la quotidienneté dérisoire des petites ambitions, des rivalités, de la confrontation des caractères et du rapport à l’autre.
Comme dans la comédie classique, on peut donc trouver ici une permanence, un regard ironique et caustique sur les hommes et les femmes. Ceci étant valable non seulement pour des générations successives mais aussi pour les protagonistes d’âges différents.
Fred
Frère de Martine. Sans gêne et sans vergogne, il vient réclamer de l’argent à sa sœur comme il en a l’habitude, car il en a encore perdu au jeu. Il a ramené une superbe créature dont il se moque éperdument, mais qui devient l’attraction principale pour les hommes de la soirée.
Il réussira quand même à soutirer quatre-vingt mille francs à l’invité de Jacques et Martine avec une bonne partie de poker.
Fred : Prête-moi du pognon, merde… je suis pressé, j’ai le couteau sous la gorge, tu le vois bien, je suis obligé de te demander de l’argent, et tu es à deux doigts de me faire la morale !…
Georges
Ami d’enfance de Jacques et Martine. Il est venu s’installer chez eux en attendant de trouver un appartement. Personnage bourru, aigri, coupeur de cheveux en quatre ayant une vision très noire de la vie.
Georges : … « Pourquoi voulez-vous à tout prix que je sois « gai »… Je me demande pourquoi vous attachez tant d’importance à ces choses-là… Il est toujours question d’être « gai », ou souriant, ou « en pleine forme », c’est une obsession !!…Je n’ai pas appris de bonne nouvelle, je n’ai pas gagné au loto, je n’ai rien à vendre à personne, je n’ai aucune raison d’être particulièrement « gai »… Je suis un être humain, pas un animateur !! »
Martine
Maîtresse de maison et femme de Jacques. C’est une petite bourgeoise dépassée par les événements qui suit les horoscopes et autres lieux communs de la mauvaise presse féminine. Plus la soirée avance, plus elle est excitée et survoltée de voir que tout lui échappe. Elle rêve d’un ailleurs…
Martine : Ah !! Voilà, tu m’as fait peur, ça s’annule !!… Le même signe, comme ascendant, ça s’annule…Par exemple, Gémeaux-Gémeaux, ça ne fait pas quatre personnalités, tu comprends ?…Enfin, je ne sais pas exactement, de toute façon , je n’y connais pas grand-chose, mais euh…J’y crois beaucoup…
Jacques
Mari de Martine. Ebloui par leur invité animateur-télé, il essaie de faire en sorte que tout se passe bien entre tous afin que la soirée soit réussie.
Jacques : …Je te préviens amicalement : un petit poker, avec des allumettes nous sommes bien d’accord ?…Un jeu de société…Pas une embuscade…
Charlotte
Femme du célèbre animateur télé qu’on ne verra jamais. C’est une journaliste très chic qui connaît le milieu du show-business mais qui semble blasée. Elle vit dans l’ombre de son mari.
Charlotte : Moi, je suis que la femme du calife, c’est accessoire…Enfin, je ne me plains pas, je sais que les gens peuvent m’ignorer consciencieusement pendant toute une soirée, je suis maintenant très habituée au mépris… Mais là, j’étais censée retrouver des amis, je m’attendais à mieux, par exemple, Jacques a du me dire deux mots, en tout, ce soir…De toute façon, c’est une tendance que j’aie : je m’attends toujours à mieux.
La situation de cette pièce se déroule exclusivement dans une cuisine durant un dîner entre amis.
Comme il est indiqué dans les didascalies ainsi que dans tout le para-texte, les hôtes, Martine et Jacques, sont souvent occupés par le service et les préparatifs du dîner. La cuisine et son agencement prennent ainsi toute leur ampleur.
Le parti-pris de décaler et d'inscrire cette pièce dans l'univers des soirées des 25-30 ans implique le questionnement quant aux aspects pratiques et décoratifs de cette cuisine selon cette tranche d'âge.
Cette pièce présente une force sociologique que ce type de parti-pris se doit inévitablement de prendre en compte au risque d'être en pure contradiction avec ce texte. Ainsi, il faut une cuisine très parisienne qui se doit d'être caractéristique d'une époque, d'un âge et d'un niveau social donné. Chaque objet, chaque accessoire doit être traité dans le même souci. Les embouteillages, le show-business, la vision carriériste des personnages justifient également le caractère typiquement parisien de la pièce.
Dans une comédie de mœurs, chacun doit se retrouver dans le portrait dressé de chaque personnage. Il est donc important que l'espace soit très réaliste et reconnaissable comme étant la cuisine " typique " d'un jeune couple moderne à Paris. De même, tout ce qui se trouve dans la cuisine devrait pouvoir être daté et situé d'une manière significative.
Il est très important que la cuisine en tant qu'objet, plus que l'espace dans lequel elle s'inscrit soit éclairée. Que les meubles qui la composent soient les points les plus éclairés. Plus on s'écarte du cœur de la cuisine, plus l'espace s'assombrit. Le jeu d'ombre et de lumière forme une ellipse qui englobe l'unique entrée et sortie fond jardin et rejette un peu l'avant-scène et le balcon avant-scène côté cour. Ce balcon est une zone franche où la lumière de la nuit et de la ville vient lutter contre la lumière de l'intérieur.
Tout l'intérêt de cette pièce se base sur le fait que dans une soirée, personne n'osera jamais se dire ce qui est dit en petit comité dans la cuisine, laquelle devient alors les coulisses du salon. Ce sont ces coulisses que la pièce met en lumière et donc ce lieu du « parler vrai » tandis qu'elle masque le salon, lieu de la mondanité, de la bienséance et du paraître.
Cuisine…
Lorsque j’ai lu « Cuisine et dépendances » pour la première fois, j’ai tout de suite retrouvé dans le texte de nombreuses situations vécues personnellement à l’occasion de soirées ou dîners entre amis.
Un peu plus tard, j’ai eu l'occasion d'approcher à nouveau l'univers de la pièce au cours d'un stage de deux mois proposé par Yvon Marciano sur le jeu de l'acteur, où je lui demandai de me faire travailler le rôle de Martine.
Depuis, l'idée de monter cette pièce ne m'a plus quittée. Je visualisais déjà des éléments d'une possible mise en scène. J'avais envie de faire jouer la pièce par des jeunes de 25-30 ans avec tout ce qui les entoure aujourd'hui.
Dépendances…
Déterminée à me lancer dans cette aventure, j'ai créé en avril 2002 l'association « Comme c'est bizarre ». Soutenue par quelques amis et autres professionnels des métiers du Spectacle, j'ai parlé du projet autour de moi, mis une annonce à la Maison du Film Court et commencé un casting filmé dans une salle que j'ai loué. Mon souhait était alors de créer une équipe, un groupe capable de partager ma motivation et de s'engager pleinement dans le travail.
J'ai rencontré beaucoup de comédiens. Le casting a duré deux mois et c'est finalement le temps qu'il m'aura fallu pour être sûre d'avoir trouvé des comédiens capables non seulement de rencontrer les personnages pour lesquels je les avais choisis, mais aussi, et c'était très important pour moi, de se rencontrer entre eux et de travailler ensemble. Ce sont des individualités très différentes portées par la même envie étincelante de faire à nouveau vivre ce texte. Chacun, à sa manière, a quelque chose à défendre et dès le début des répétitions le groupe fonctionna avec une évidence rassurante.
Cathy Guillemin
Qu'est-ce qui t'a séduit dans ce projet. Pourquoi as-tu eu envie de le faire ?
Eve : Quand tu m'as proposé Cuisine et dépendances, je trouvais déjà le texte excellent. J'avais vraiment envie de me lancer dans un projet qui tienne la route et que je puisse mener à terme. De toute façon, dans ce métier il ne faut pas attendre qu'on vienne nous chercher, il faut se lancer !
Qu'est-ce qui te plait autant dans ce texte ?
Eve : C'est une comédie, mais pas où on rit ouvertement. C'est une comédie plutôt fine parce qu'on s'y retrouve tous, chacun retrouve ses problèmes, ses défauts ; parce qu'il y est exacerbé cette difficulté de communiquer propre à notre époque. De plus, je me suis attachée au personnage de Charlotte très vite. Je retrouve beaucoup de choses de moi dans sa façon de réagir. Et puis, l’écriture me plaît. La force du texte est dans le non-dit.
Qu'est-ce que ça t'apporte à toi en tant que comédienne ?
Eve : L'intérêt de ce genre de texte, c'est de dire des choses où les mots n'ont pas vraiment d'importance. Tout ce qui se passe est beaucoup plus profond, plus ancré et où on joue des choses essentielles, les rapports entre les hommes, sous couvert de paroles
anodines. Ca nous force à se mettre en jeu réellement.
Si tu avais eu le choix du rôle entre Martine et Charlotte qui t'aurais choisi ?
Eve : Les deux sont vraiment intéressants mais opposés. Martine est plus nerveuse, beaucoup plus hystérique et est très intéressante à jouer aussi. Mais je me suis tellement retrouvée dans le rôle de Charlotte que jouer ce personnage m'a paru évident. C'est son côté plus calme, plus pondéré et le paradoxe qu'est sa vie. Elle a socialement réussi, mais ressent sa vie intime comme un grand désert. Parce que tout ce qu'elle veut c'est qu'on s'occupe d'elle. Elle a besoin d'être aimée.
Comment te situes-tu par rapport au groupe ?
Eve : Je pense qu 'on a vraiment réuni un groupe solide. Personne n'essaie de se placer au-dessus de personne. Il y a beaucoup de respect des uns et des autres. On a tous envie de travailler et une volonté de faire quelque chose de bien, et là-dessus on se retrouve tous.
Quelle est la question que tu aurais aimé que je te pose ?
Eve : J'aurais aimé que tu me demandes si j'étais allée voir une voyante pour savoir si la pièce marcherait…
Qu'est-ce qui t’a séduit dans ce projet ?
Jean : L’écriture, l’humour des auteurs. Jouer quelque chose de contemporain. Ensuite, j’ai senti de bonnes vibrations dans l’équipe, des gens motivés…l’aspect humain qui s’est dégagé de la troupe.
Qu’est-ce qui te plaît autant dans ce texte ?
Jean : J’ai pris du plaisir à voir le film et à lire la pièce. Ces situations sont indémodables et proches des gens, le spectateur peut se trouver au travers d’un ou plusieurs traits de caractère de chaque personnage. Et puis j’aime ces situations souvent tristes mais qui sont dépeintes sous le biais de l’humour.
Qu’est-ce que ça t’apporte à toi, en tant que comédien ?
Jean : Enormément : rien que sur le travail de comédien, Jacques est un personnage qui me semble vraiment loin de ce que je suis, et il va falloir beaucoup d’imagination et d’observation pour trouver de quoi nourrir ce personnage. C’est un vrai challenge.
Si tu avais eu le choix entre Jacques, Georges et Fred, qui aurais-tu choisi ?
Jean : Question difficile, heureusement je n’ai pas eu le choix…
Quelle est la question que tu aurais aimé que je te pose ?
Jean : Est-ce que tu veux des pistaches ?
Qu'est-ce qui t'a séduit dans un tel projet ?
Arnaud : La première rencontre. Le fait que ce soit une comédie. Quand je suis venu la première fois, j'ai tout de suite accroché avec les comédiens et les comédiennes. J'ai trouvé chez eux un réel potentiel.
Qu'est-ce qui te séduit dans cette pièce particulièrement ?
Arnaud : Le fait que ça ne va pas être un Cuisine et dépendances que l'on connaît déjà. La forme sera complètement différente de celle de Bacri et
Jaoui.
Quel personnage tu aurais aimé jouer si tu avais eu le choix ?
Arnaud : Georges et Jacques m'intéressent. Mais peut-être plus Georges car il a une sensibilité, une tendresse qui me sont proches. Il a aussi un côté écorché vif qui me touche. De plus, je trouve qu'il a une relation assez proche avec tous les personnages que les autres n'ont pas forcément entre eux.
Qu'est-ce que ça t'apporte en tant que comédien ?
Arnaud : C'est la palette de sentiments qu'il y a à jouer dans ce personnage : Le cynisme, l'humour, la colère, la vexation…Ce n'est pas évident de jouer un rôle à fleur de peau.
Comment te situes-tu par rapport au groupe ?
Arnaud : Il y a des individualités très fortes et en même temps une très grande homogénéité dans le groupe.
Qu'est-ce que tu dirais aux gens pour qu'ils viennent voir la pièce ?
Arnaud : Je leur dirais simplement d'oublier la forme qu'ils ont pu apprécier dans la pièce ou le film, et qu'à partir du fond et de la situation qui sont restés les mêmes, nous cinq, avec l'aide du metteur en scène, montrons et jouons les mêmes évènements mais dans une atmosphère différente et dans une ambiance inhérente à nos âges. Et pour ceux qui ne connaissent pas le texte, les motiver sur sa découverte propre et l'adaptation que nous en avons faite.
Qu'est-ce qui t'a séduit dans ce projet ?
Thierry : J’ai rencontré une équipe sympa, qui voulait explorer dans ce texte génial de nouvelles directions que celles déjà magnifiquement immortalisées par ses créateurs.
Qu’est-ce qui te plaît autant dans ce texte ?
Thierry : Un mélange de cynisme, d’émotion et d’humour qui dessine avec finesse une génération et qui me rappelle le comique de situation des très bons sitcoms américains.
Qu’est-ce que ça t’apporte à toi en tant que comédien ?
Thierry : Chaque rôle est une expérience unique pour un comédien.
Si tu avais eu le choix entre Jacques, Georges et Fred, qui tu aurais choisi ?
Thierry : Excusez-moi, j’ai quelque chose sur le feu.
Quelle est la question que tu aurais aimé que je te pose ?
Thierry : J’aurais préféré que vous ne me posiez pas de questions.
Facile, coût raisonnable, prép. et cuisson 20min, prép. à l’avance : 2h
Il faut (pour 4) : Haddock, 500g. Huile, 1 verre. Citron, 1. Beurre ou margarine, 30g. Persil.
1- Coupez le Haddock en quatre morceaux. Mettez les dans un plat creux. Recouvrez-les d’huile. Laissez mariner 2 heures.
2- Allumez le grilloir du four.
3- Egouttez les morceaux de haddock. Déposez-les sur une grille placée elle-même sur la plaque creuse du four (lèchefrite.). Glissez sous le grilloir. Faites cuire en laissant la porte du four ouverte, de 8 à 10 minutes sur chaque face.
4- Mettez les morceaux de haddock dans un plat chaud. Aspergez-les de jus de citron et parsemez de noisettes de beurre ou de margarine malaxée avec du persil haché.
Remarques : 1 - Haddock = aiglefin ou églefin fumé.
2 - Le haddock, c’est du filet de poisson fumé. Sa couleur est jaune soutenu. Il se conserve à l’air
libre plus longtemps que du poisson frais.
3 - Vous pouvez aussi faire griller le haddock sur un gril de contact , placé directement sur la
flamme de votre réchaud. Faites chauffer le gril quelques minutes avant d’y déposer le poisson
huilé.
4 - Ne salez pas le haddock, il l’est déjà suffisamment
Un très bon moment! Une mise en scène enlevée, les comédiens nous font beaucoup rire, c'est dynamique, grinçant, souvent méchant. Une très bonne soirée.
Un très bon moment! Une mise en scène enlevée, les comédiens nous font beaucoup rire, c'est dynamique, grinçant, souvent méchant. Une très bonne soirée.
15, rue du Retrait 75020 Paris