Dans Symphonie M, Maro évolue sur la Symphonie n°5 de Mahler, accompagné de 14 danseurs qui se fondent dans le décor. Est-ce la vie, la mort, la renaissance ? Sa symphonie est l’écho du big-bang qui résonne encore dans l’univers. Tel un trou noir, le corps de Maro a tout absorbé : romantisme, accablement, gloire, misère, extase, néant...
Maro Akaji, qui a créé sa compagnie il y a 40 ans, découvre le butô dans les années 60 avec Hijikata, fondateur de cette « danse des ténèbres ». Il a aussi travaillé avec de grands réalisateurs de films : Kitano, Tarantino, Seijun Suzuki...
Dans Symphonie M, Maro évolue sur la Symphonie n°5 de Mahler, accompagné de 14 danseurs qui se fondent dans le décor. Est-ce la vie, la mort, la renaissance ? Sa symphonie est l’écho du big-bang qui résonne encore dans l’univers. Tel un trou noir, le corps de Maro a tout absorbé : romantisme, accablement, gloire, misère, extase, néant...
Sur la scène, il est tour à tour un instrument à cordes, à vent, une percussion. Il dirige, tel un chef d’orchestre, la symphonie de l’allégresse et du désespoir.