Au début l’homme est nu. Lorsqu’il vient au monde, l’homme est tout nu. Puis très vite, il se vêt des névroses de ses parents, qu’il porte fièrement. Il habille ensuite son cœur de ses petites frustrations, de ses maigres ambitions, de ses désirs sexuels inassouvis… puis enfin, il adopte la grimace qui sied à sa fonction sociale… c’est ainsi qu’il devient un personnage… heureux d’exprimer sa bêtise ou sa méchanceté… Et c’est là que ça commence à faire rire.
"Le métier de comique est quand même extrêmement dur, car si c'est difficile de faire pleurer avec des beaux textes, c'est quand même plus dur de faire rire avec des textes idiots !"
"Le poulet-cochon, l'animal du troisième millénaire… tu peux couper la viande directement dessus. Il ne dit rien. Il ne sent rien… et peut-être deux jours après, ça repousse…"
« Crooner, crâneur et frondeur, le caméléonesque Bénureau pilonne le politiquement correct, asticote le mythe Shakespearien, étrille la beauferie et se risque même à des sujets périlleux : la vieille féroce, le collabo rose, le chanteur libidineux, ou le retraité profiteur qui se fait prescrire une cure de gastronomie dans le Gers… Autant vous prévenir : ça décoiffe, ça décape, ça déferle. Pas de quartier pour la connerie ambiante ! » Myriem Hajoui - A Nous Paris
2 bis, avenue Franklin Roosevelt 75008 Paris