Tragédie qui finit bien, histoire d’un amour impossible, véritable histoire de cape et d’épée, l’histoire du Cid est aussi une histoire de conquêtes. La conquête du Cid. Les conquêtes de l’homme. La première version du Cid de Corneille est une tragi-comédie, où le comique et le tragique s’entrechoquent. Les alexandrins jouent et chantent comme une musique ou une langue d’ailleurs et apportent une force poétique unique. L’histoire tient en haleine le spectateur, développe un véritable suspense. Il y a du sang, de la sueur et de l’amour. Dans El Cid !, il y a du Shakespeare, du Hitchcock, du Tarantino !
D'après Le Cid de Corneille.
« Populaire au meilleur sens du terme… Toute la force et toute la singularité de la mise en scène de Philippe Car reposent sur sa savante et fine façon d’exciter tout à la fois les neurones et les zygomatiques du spectateur. Il règne sur la scène une atmosphère de fête foraine. Un manège haut en couleurs où, du cirque au music-hall en passant par le théâtre d’ombre, sur fond de musique et de chants endiablés, nous entendons les enjeux dramatiques du texte. » L’Humanité
« Déjanté, ébouriffant, rafraîchissant. El Cid !, dépoussiéré par la mise en scène de Philippe Car, insuffle une véritable bouffée d’oxygène et tord le cou au traitement classique que d’ordinaire l’on porte à cette pièce de théâtre du XVII° siècle. Tout l’art de cette Compagnie est d’avoir fait voler en éclat les codes théâtraux pour oser l’impensable, comme ajouter un narrateur, et camper Rodrigue et Chimène dans un décor digne d’un conte de fée ultra coloré et barré. Voiturette d’auto-tamponneuses, mini-caravane, château en modèle réduit, marionnettes en ombre chinoise… tout un petit monde circulaire dans lequel évoluent avec rythme et brio les acteurs à la fougue communicante. » Marseille l’Hebdo
« Classique en folie. On peut rire de tout. Et même, et surtout, des chefs-d’œuvre. Philippe Car et son Agence de Voyages Imaginaires ont décidé de faire subir l’épreuve du lifting comique, avec ce El Cid ! Bilan : ça marche, et du tonnerre. Comme se plaisent à le dire les comédiens qui se transforment en narrateurs et commentateurs, il y a de tout dans cette pièce : amour, gloire, et beauté. Mais c’est bien mieux qu’un feuilleton télé ! Car si le scénario peut parfois évoquer un soap-opéra, la langue de Corneille (qui est aussi celle de Molière) donne à chaque épisode sa vraie grandeur. Fil du rasoir ? Funambulisme verbal. Mais rien ne chute. Rien ne sombre dans la farce. Tout tient debout. Tout est rehaussé par une relecture intelligente et bienveillante. Un régal, tout simplement. » La Marseillaise
« El Cid ! a du cœur. La soirée est une fête. Ce Cid chevaleresque et dérisoire est porté par l’énergie et le grand cœur fertile de brillants bouffons. Leur voyage exalte l’imaginaire. On a l’impression d’avoir vu en vrai un rêve de gamin remuant, et l’on a de nouveau 10 ans. » La Provence
« Arriba El Cid ! Le Cid en fanfare et caravane congés-payés, çà décoiffe ! L’art du détournement fait d’ailleurs toute la saveur comique d’un spectacle toujours malicieux. » Zibeline
« Quel souffle, quelle joie, quelle jubilation ! Les costumes et le jeu des acteurs sont burlesques, mais le texte est bien-là, magnifiquement vivant, comme on aurait aimé le voir dans nos cours de français au collège ou au lycée. » La Gazette de Nîmes
Une histoire d’amour impossible, de cape et d’épée, de conquêtes, de sang et de sueur… La dernière création de l’Agence de Voyages Imaginaires a vu le jour au cours de trois mois passés en itinérance sur les routes d’Espagne, à la rencontre des “Rodrigue” et des “Chimène” de la Méditerranée. El Cid ! est un spectacle nourri de toutes les influences culturelles et musicales de ce périple. Pensé comme un thriller, Corneille réécrit le mythe de Rodrigo Diaz de Vivar en y développant un véritable suspense. L’histoire tient en haleine le spectateur d’un bout à l’autre de la pièce. Corneille pousse ses personnages et surtout Rodrigue et Chimène, dans de véritables tortures psychologiques ! Dans cette adaptation, le merveilleux et le comique frisent avec le tragique. La mise en scène…foraine, tend vers une forme rêvée de «music-hall espagnol». L’action se déroule sur un manège onirique comme dans un conte…
Par ailleurs, la présence d'Alonzo, narrateur‐chauffeur de taxi auto‐tamponneuse, joué par les cinq comédiens, met en perspective le texte et les réflexions de Corneille. L’honneur doit‐il être défendu ? Doit‐on se rendre justice soit même ou bien faire confiance à la justice ? La musique, composée par Vincent Trouble, enregistrée et jouée en direct par tous les comédiens, est influencée par le voyage et s’est enrichie de chansons hispanisantes. Elle accompagne l’action comme une musique de film afin de donner au spectacle une atmosphère tour à tour épique et glamour, loin des versions habituelles de cette pièce du répertoire…
Enfin du theatre ecrit pour nous, assis, qui regardons et entendons mieux un texte classique saupoudré de lumières, musiques , superbe mise en scène et de la joie partout. Je pars suivre la troupe sur la toile et j'attends son retour à paris. Pub assurée. DS Silvia »
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