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Comment, un soir, trois jeunes comédiens au bout du rouleau, décident de prendre en otage leurs spectateurs Une comédie corrosive et décalée où nul n'est épargné Déjà complet si vous venez !
Trois jeunes comédiens jouent une pièce de boulevard poussive, qu'ils ont écrite eux même. Le spectacle ne marche pas du tout et les spectateurs ne sont pas au rendez-vous Aujourd'hui pourtant les trois comédiens ont décidé de prendre leur destin en main et de rompre cette fatalité qui les pousse un peu plus chaque jour vers l'oubli du public et l'indifférence des professionnels.
C'est pourquoi ce soir ils interrompent la représentation de leur pièce pour prendre en otage " la petite dizaine de malheureux spectateurs " qui a eu le courage de s'aventurer dans leur théâtre Leurs revendications ???? 5 millions de francs usagés en petites coupures usagées dans une mallette noire usagée !!!
Leur moyen de pression ???? Ils détiendraient en otage une sommité du monde du spectacle dont nous tairons le nom pour des raisons de sécurité Leur intermédiaire lors des négociations ??? L'adjudant chef Martinez et Claude Bernard, un célèbre agent, affublé d'un terrible défaut de prononciation Mais pour le moment l'heure est à la négociation et au Pastis !
Héritier des grandes heures du café-théâtre, le spectacle est parfois en référence directe à des pièces telles que " le père noël est une ordure ", mais il est aussi directement connecté à notre époque par le biais de ses nombreux clin-d'yeux à nos séries télés, telles que " Urgence " ou encore " X File's ".
Nous sommes plongés dès le début dans un univers visuel loufoque, où se télescope réalisme et décalages. Mais c'est avant tout une pièce avec une histoire construite, inspirée des difficultés que rencontrent parfois les jeunes comédiens à s'insérer dans leur vie professionnelle. C'est ainsi que nous suivrons tout au long de ces 1H20 de pièce, le parcours pseudo-autobiographique de ces trois jeunes comédiens désespérés, qui prennent en otage leurs spectateurs, pour qu'enfin on parle d'eux.
Ainsi toutes les références au théâtre, cinéma ou télévision, sont directement issues de leur univers professionnel et de leurs aspirations ou modèles. Jusqu'à l'interactivité avec le public qui est directement induite par la situation et qui n'oblige pas à sortir de la situation comme c'est le cas très souvent en café-théâtre Ainsi le rire n'est jamais un prétexte, mais il est toujours amené par les situations extrêmes que vivent les personnages ou par leurs caractères qui se révèlent sous la pression et les tensions.
C'est ainsi que cette comédie n'exclue pas non plus le drame et que les personnages poussés dans leurs derniers retranchements, par la police et les médias ( une intervention télévisée en direct leur fait prendre conscience de la gravité de leur acte ), vivront une fin tragique.
" Dans la plus pure tradition du Splendid loccasion de passer une excellente soirée en compagnie de trois acteurs pleins d'énergie et de talent dont le rire est le seul credo. " Cristina Marino, Le Monde interactif
" Ajoutez encore beaucoup dhumour, de parodies et de talent. Il ne vous reste plus quà filer les applaudir. " Valérie Bailly, Le Figaro Madame
" Trois acteurs forcenés prennent en otage leurs propres spectateurs sagitant beaucoup pour faire reconnaître leur talent. Amusant. " André Feter, Zurban
" On sourit un peu, on rit beaucoup, on aime passionnément le rythme échevelé de cette pièce qui touche même la corde sensible en tout humour bien entendu ! " Virginie, Paris-Paname
" Bref, il y a de la farce, de la sauce tomate et de jeunes comédiens qui se dépensent sur scène sans compter. On sort de là content. Contrairement à ce que pensent les personnages, le vrai public lui ne sen fout jamais " Eléonore Van Den Bogart, TheatreOnline
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