Quand le monde aura brûlé, il restera des femmes. Deux.
Leur séduction, les regards jaloux entre elles, l’image qu’elles se font du désir de l’homme pour elles. Du désir du mari d’une d’entre elles pour celle qui n’est pas sa femme. Du désir de l’épouse de voir son mari avec l’autre femme. Une image matérialisée en robot, en chien quémandeur. Nous sommes sur le terrain de l’imaginaire, de tous ses décombres. Entre les murs qui s’effondrent, ceux qui restent réagissent comme ils peuvent aux bouleversements.
Que reste-t-il entre eux si tout est perturbé, si tout est ruiné ? Autrefois, l’une était la servante, l’autre, la maîtresse…
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