En juillet 1977, New York connut 36 heures de black out. La ville dérailla. Inspiré par cet épisode, le chorégraphe Harris Gkekas prend le risque du black out. En plongeant, à diverses reprises, la scène dans le noir, il introduit la possibilité du chaos. Et réussit ce tour de force : produire de l’ordre avec du désordre, créer une harmonie qui reste vivante et ouverte à l’imprévu. À partir de 4 ans.
À partir de 4 ans.
Au milieu du mois de juillet 1977, New York connut 36 heures de black out. Plus de courant électrique. La coupure totale. Et, à la tombée du jour, le noir complet. Ce temps suspendu et cette grande nappe d’obscurité répandue sur les gens et les choses, étaient propices aux dérèglements. Pendant quelques heures, la ville dérailla : pillages, vandalisme, incendies par centaines, bizarreries et aberrations en tous genres.
Inspiré par ce légendaire épisode new-yorkais, le chorégraphe Harris Gkekas prend le risque du black out. En plongeant, à diverses reprises, la scène dans le noir, il introduit la possibilité du chaos. Dans ce temps de latence, les danseurs bifurquent, prennent des chemins de traverses, inventent des configurations qui, pour être inattendues, ne sont pas anarchiques. Et réussissent ce tour de force : produire de l’ordre avec du désordre, créer une harmonie qui reste vivante et ouverte à l’imprévu.
17, boulevard Jourdan 75014 Paris