Le retour de Hofesh Shechter sur la place du Châtelet sera orné du statut de création mondiale : un cadeau tout particulier, réservé au public parisien ! Encore sans titre, ce voyage dans nos angoisses, espoirs et désirs pénètre le royaume intime des rêves, et plus encore.
Une plongée dans l’imaginaire et l’inconscient, avec les incroyables danseurs de la Shechter Company.
Expression d’une relation privilégiée entre un théâtre et un artiste, le retour de Hofesh Shechter sur la place du Châtelet sera orné du statut de création mondiale : un cadeau tout particulier, réservé au public parisien ! Encore sans titre, ce voyage dans nos angoisses, espoirs et désirs pénètre le royaume intime des rêves, et plus encore. Car cette chorégraphie explore aussi nos pensées en état d’éveil ainsi que nos sens, parfois incontrôlables voire un brin chaotiques. Une myriade d’émotions, portées par la musique live composée, entre autres, par Hofesh Shechter, pour produire un étrange sens du réel.
Spectacle incroyable. Epoustouflant ! On en ressort plein les yeux et les oreilles !!
Il y a du David Lynch dans ce ballet de Hofesh Shechter. Un homme seul pénètre dans un univers kafkaïen où s’enchaînent les images syncopées de groupes humains synchrones et achromes, sur un rythme martelé à l’instar du train de Prokofiev, comme dans un film muet de Buster Keaton. Un voyage d’une heure trente, autour du globe avec peu d’escales, porté par des rythmes du Brésil aux chorales d’Afrique du Sud, nous amène au cabaret du Levant, concentré de cet univers fait de la diversité de la musique et des corps, entre jazz et piano. Car c’est bien de cela qu’il s’agit, une vie où chaque individu femme et homme, participe du tout en demeurant unique dans sa culture et ses racines, comme enfermé dans une cage pourpre qui s’élève. Sans artifice, avec des costumes qui s’enlèvent et se renfilent, uniquement par le jeu des lumières et des rideaux de scènes, Hofesh Shechter nous fait vivre cette expérience unique exaltante et douloureuse de l’homme nu, dans une chorégraphie endiablée et asymétrique, flottant dans l’espace d’une série de tableaux organiques. Les danseurs réalisent une performance à vous couper le souffle, pour nous partager leurs émotions d’une jeunesse qui exulte, jusqu’à nous faire danser dans un intermède de communion et de bonheur.
Pour 2 Notes
Spectacle incroyable. Epoustouflant ! On en ressort plein les yeux et les oreilles !!
Il y a du David Lynch dans ce ballet de Hofesh Shechter. Un homme seul pénètre dans un univers kafkaïen où s’enchaînent les images syncopées de groupes humains synchrones et achromes, sur un rythme martelé à l’instar du train de Prokofiev, comme dans un film muet de Buster Keaton. Un voyage d’une heure trente, autour du globe avec peu d’escales, porté par des rythmes du Brésil aux chorales d’Afrique du Sud, nous amène au cabaret du Levant, concentré de cet univers fait de la diversité de la musique et des corps, entre jazz et piano. Car c’est bien de cela qu’il s’agit, une vie où chaque individu femme et homme, participe du tout en demeurant unique dans sa culture et ses racines, comme enfermé dans une cage pourpre qui s’élève. Sans artifice, avec des costumes qui s’enlèvent et se renfilent, uniquement par le jeu des lumières et des rideaux de scènes, Hofesh Shechter nous fait vivre cette expérience unique exaltante et douloureuse de l’homme nu, dans une chorégraphie endiablée et asymétrique, flottant dans l’espace d’une série de tableaux organiques. Les danseurs réalisent une performance à vous couper le souffle, pour nous partager leurs émotions d’une jeunesse qui exulte, jusqu’à nous faire danser dans un intermède de communion et de bonheur.
2, place du Châtelet 75004 Paris