Présentation
La presse
Nominations Molières 2002
Trois femmes habitent le même immeuble. Elles ne se connaissent pas… Et voilà qu’elles sont amoureuses du même homme. La chair est faible, la jalousie légitime et les fax qu’elles s’échangent sont d’une perfidie qui met le feu aux poudres de ces dames... Dominique Labourier en doyenne rouée, Isabelle Gélinas en capricieuse et Eva Green en ingénue cruelle, apportent à cette comédie acidulée une dose d’humour féminin qui ne manque pas de piquant.
Helen, Yana, Iris, trois femmes habitent à trois étages différents du même immeuble. Elles ne se connaissent pas quand le mari d’Helen la quitte pour Yana, puis quitte Yana pour Iris. Par fax, successivement, les trois femmes se jaugent, se répondent par l’expression des rivalités, des fantasmes, des provocations, de la culpabilité, des désespoirs, du dérisoire ou de l’abandon.
La jalousie multiforme devient le point d’ancrage d’une correspondance exclusivement épistolaire qui agit en jeux de miroirs sur l’évolution des trois personnalités, du sentiment amoureux face à ce fait divers universel, de la pudeur et de sa nécessaire transgression.
Les fax de chacune des trois femmes prennent peu à peu une place privilégiée et finalement indispensable dans l’histoire passionnelle et irraisonnée qui les unit désormais bien au-delà de l’homme qu’elles aiment.
“(…) Esther Vilar part d’un argument banal et boulevardier (la jalousie), mais pour en subvertir aussitôt les règles. Captant les imbroglios sentimentaux à la volée de saillies assassines, sa pièce se libère habilement des conventions pour aborder des rivages plus troubles et poser quelques questions bien senties et très modernes sur la place de la femme dans notre société.” A nous Paris, du 5 au 11 novembre 2001
“(…) Une pièce vraiment très drôle, remarquablement bien mise en scène dans un décor habile et servie par trois comédiennes éblouissantes. Que désirer de plus ?” Zurban, octobre 2001
“(…) Jalousie en trois fax est une comédie acidulée, écrite avec cet humour féminin qui ne manque pas de piquant. On rit aux aventures sentimentales de ces trois femmes interprétées par Isabelle Gélinas, pleine d’allant et d’alacrité, Dominique Labourier, inattendue dans ce registre, et une nouvelle venue, ravissante et charmante, Eva Green.” Le Figaro Madame, 9 novembre 2001
Révélation théâtrale féminine : Eva Green
Meilleur metteur en scène : Didier Long
Meilleure lumière : Gaëlle de Malglaive
Meilleure pièce de création
15, rue Blanche 75009 Paris