Seul en scène, Maxime d'Aboville, nominé aux Molières 2010 dans la catégorie " Révélation théâtrale masculine " , fait revivre le chef d’oeuvre de Bernanos. Un texte d'une
Un jeune prêtre plein de zèle, confronté à la maladie et à la misère intérieure de ses paroissiens, brûle néanmoins d’une force presque surnaturelle. Si maladroit et faible en apparence, il s’avère capable de « briser » ses paroissiens les plus durs, de les réconcilier avec eux-mêmes. Lui-même, dans une ultime épreuve, accueille la mort en paix.
« Bernanos a l’art de peindre l’ordinaire sous un jour fantastique. (…) Emouvant Maxime d’Aboville. » Nouvel Observateur
« Maxime d’Aboville incarne de manière très subtile ce personnage rempli de doutes et d’angoisses. » Télérama
« D’Aboville donne à entendre avec conviction les mots de l’auteur. Il est admirable. » Pariscope
« Une soirée inoubliable » Le Figaro Magazine
« Maxime d’Aboville est formidable. » Figaroscope
« Spiritualité mystique et humanité profonde. » La Pléiade
« Le texte de Bernanos vous perfore le cœur. Une performance. » Famille Chrétienne
je sors d'une heure 15 de sensiblité, d'impression, d'émotion. Certes le journal d'un curé de campagne n'est pas une pièce de théatre et donc ne mériterait pas une critique dans vos rubriques. Mais peu importe, Les Molières ont distingué le comédien et il est extraordinaire. Allez y , vous verrez.
je sors d'une heure 15 de sensiblité, d'impression, d'émotion. Certes le journal d'un curé de campagne n'est pas une pièce de théatre et donc ne mériterait pas une critique dans vos rubriques. Mais peu importe, Les Molières ont distingué le comédien et il est extraordinaire. Allez y , vous verrez.
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