Adapté du roman éponyme et d’autres récits par Jean-Baptiste Sastre et Gilles Bernanos — petit-fils de l’écrivain — La France contre les robots nous convie aux retrouvailles entre nous et notre liberté qui se conquiert chaque jour contre nos habitudes, nos préjugés, contre nous-mêmes. À partir de 15 ans.

Adapté du roman éponyme et d’autres récits par Jean-Baptiste Sastre et Gilles Bernanos — petit-fils de l’écrivain — La France contre les robots nous convie aux retrouvailles entre nous et notre liberté qui se conquiert chaque jour contre nos habitudes, nos préjugés, contre nous-mêmes. À partir de 15 ans.

Et si la clé de la joie profonde était de reconnaître la peur qui est au rendez-vous de chacune de nos vies ?

La reprise de l’opéra de Poulenc qui a triomphé grâce à ses interprètes et à la lecture visionnaire d’Olivier Py avec au pupitre l’américaine Karina Canellakis. Opéra chanté en français, surtitré en français et en anglais.

Un jeune prêtre chétif et vulnérable, mais qui semble brûler d'une force surnaturelle, part à la rencontre des âmes endurcies. Le récit bouleversant et plein d'humanité d'un être lumineux qui chemine, dans cette mystérieuse campagne d'Artois, entre épreuve et espérance. Maxime d'Aboville, adaptateur et interprète de l'oeuvre, a été nommé aux Molières en 2010 et en 2011.

Bernanos, c’est une langue qui n’existe plus, qui accompagnait des valeurs en voie d’extinction. Paix, guerre, patrie, culture… Elle sonne aujourd’hui comme une langue étrangère. C’est pourtant la nôtre.

Un jeune prêtre chétif et vulnérable, mais qui semble brûler d'une force surnaturelle, part à la rencontre des âmes endurcies. Le récit bouleversant et plein d'humanité d'un être lumineux qui chemine, dans cette mystérieuse campagne d'Artois, entre épreuve et espérance. Maxime d'Aboville, adaptateur et interprète de l'oeuvre, a été nommé aux Molières en 2010 et en 2011.

Bernanos, c’est une langue qui n’existe plus, qui accompagnait des valeurs en voie d’extinction. Paix, guerre, patrie, culture… Elle sonne aujourd’hui comme une langue étrangère. C’est pourtant la nôtre.

Le martyre des 16 carmélites de Compiègne en 1794 qui inspira Bernanos et que Poulenc mis en musique.