L'incontournable pièce d'Harold Pinter mise en scène par Ludovic Lagarde avec Valérie Dashwood et Laurent Poitrenaux.
Comme chaque matin, Richard part travailler dans la City et laisse Sarah, sa femme, dans la maison de banlieue du couple heureux qu’ils forment. Avant de quitter la maison, le mari demande à sa femme, sur un ton qui peut sembler badin, si elle doit recevoir son amant dans la journée.
Ce à quoi Sarah répond par l’affirmative. Quand, en matinée, on sonne à la porte, ce n’est pas l’amant, mais un simple vendeur qui s’éclipse aussitôt. Pourtant, l’amant se présente bel et bien dans l’après-midi : il s’agit du mari qui endosse le rôle. Il joue l’amant pour son épouse qui, elle, joue la prostituée pour lui.
Tant que le jeu va, le couple semble trouver un équilibre entre aventure et quotidien domestique bourgeois. Or Richard souhaite mettre fin à la prétendue liaison adultère, au grand dam de Sarah qui ne l’entend pas ainsi.
Un couple aisé, pour rompre la monotonie de leur existence, pratique un jeu de rôle de l'infidélité. La prestation des deux acteurs est de qualité mais cette platitude de l'ennui est un peu lassante. Personnellement, ces "peines de cœur de chats anglais" m'a laissé indifférente.
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Un couple aisé, pour rompre la monotonie de leur existence, pratique un jeu de rôle de l'infidélité. La prestation des deux acteurs est de qualité mais cette platitude de l'ennui est un peu lassante. Personnellement, ces "peines de cœur de chats anglais" m'a laissé indifférente.
1, place Charles Dullin 75018 Paris