« Des formes nouvelles, voilà ce quil faut.»
La mouette, oiseau étrange et fascinant, grand point dinterrogation qui me permet
de mettre en abyme et de résoudre mes propres questions de jeune metteur en scène, de
partir à la recherche de ces fameuses « formes nouvelles » dont parle Treplev et dont
je ressens si fort le besoin sur un plateau de théâtre. Comment lutter encore et
toujours contre la convention, lattendu ? Comment faire que les choses « sépanchent
librement du fond de lâme » comme le dit Kostia ?...
la mouette est un véritable bonheur. La mise en scène du jeune scénariste crée une vrai proximité avec le public, accentué par l'architecture du théâtre des Bouffes du Nord. Les choix musicaux donne une "force" à la pièce.. Quant aux acteurs on les sent réellement dans leur rôle à tout point de vue. 2h30 de plaisir véritablement, d'autant plus que le texte en lui-même est très intéressant notamment en ce qu'il donne à réflexion un propos sur les angoisses existentielles des acteurs. eseive@netcourier.com
la mouette est un véritable bonheur. La mise en scène du jeune scénariste crée une vrai proximité avec le public, accentué par l'architecture du théâtre des Bouffes du Nord. Les choix musicaux donne une "force" à la pièce.. Quant aux acteurs on les sent réellement dans leur rôle à tout point de vue. 2h30 de plaisir véritablement, d'autant plus que le texte en lui-même est très intéressant notamment en ce qu'il donne à réflexion un propos sur les angoisses existentielles des acteurs. eseive@netcourier.com
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