Maria Verdi
Maria Verdi
Après une formation auprès de Lucien Raimbourg, Mary Marquet et Raymond Rouleau, Maria Verdi joue au théâtre des auteurs du répertoire classique et contemporain, tourne au cinéma et à la télévision. Elle a notamment joué sous la direction de Patrice Chéreau, Les Paravents de Jean Genet au Théâtre Nanterre-Amandiers, de Jorge Lavelli, Heldenplaz de Thomas Bernhard au Théâtre de La Colline et de Jérôme Savary Dommage qu’elle soit une putain de John Ford au Théâtre de Chaillot. Elle joue aussi au Théâtre de l’Odéon Le vertige des animaux avant l’abattage de Dimitriadis mis en scène par Caterina Gozzi. Au cinéma, elle tourne entre autres dans Calmos de Bertrand Blier, dans Le choix des armes, d’Alain Corneau, dans L’homme blessé de Patrice Chéreau, et récemment dans La Belle époque de Nicolas Bedos.
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De 1999 à hier - Maria Verdi
Manufacture des Abbesses, Paris
du 1 au 11 mars 2020
1h10
- De : Ivor Martinic
- Mise en scène : Juan Miranda
- Avec : Maria Verdi, Teresa Ovidio, Laurent Czerniak, Ivan Toulouse, Eva Jarriau, Elena Durant, Florent Mousset, Chap Rodriguez Rosell, Astrid Albiso
Branko se déplace en fauteuil roulant et, ce jour-là, il fête ses 25 ans. Ses amis et sa famille se préparent, chacun à sa façon, pour célébrer cet événement. Chaque rencontre entre les différentes générations met en lumière la complexité des personnages au prisme du handicap. Instantané de la vie de cette famille qui tente tant bien que mal de rester à la surface, le spectacle nous emporte avec un texte ciselé et une interprétation poignante (merveilleuses Teresa Ovidio et Maria Verdi) !
Atalante, Paris
du 18 nov. au 29 déc. 2011
- De : Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux
- Mise en scène : Agathe Alexis, Robert Bouvier
- Avec : Robert Bouvier, Marie Delmarès, Nathalie Jeannet, Guillaume Marquet, Frank Michaux, Maria Verdi, Agathe Alexis, Jaime Azulay, Sandrine Girard, Nathalie Sandoz
Les deux courtes pièces présentées ici sont des oeuvres de la maturité chez Marivaux. Indissolublement, la mise à l'épreuve et la comédie se font écho pour mettre les âmes à nu.
Théâtre de l'Odéon - Ateliers Berthier, Paris
du 27 janv. au 20 févr. 2010
- De : Dimitris Dimitriadis
- Mise en scène : Caterina Gozzi
- Avec : Samuel Churin, Laurent Charpentier, Brice Cousin, Thierry Frémont, Thomas Matalou, Claude Perron, Maria Verdi, Faustine Tournan, Pierre Banderet
Le plus vieux fonds tragique de la Grèce hante cette œuvre de Dimitris Dimitriádis à la façon d'un rêve à demi oublié : la fatalité, à la fois implacable et absurde, s'y déploie dans l'énergie d'une parole poétique qui mêle avec une étonnante maîtrise le trivial et l'oraculaire.
Bouffes du Nord, Paris
du 3 mars au 3 avr. 2009
2h15
- De : Anton Tchekhov
- Mise en scène : Claudia Stavisky
- Avec : Didier Bénureau, Jean-Pierre Bagot, Marie Bunel, Joséphine Derenne, Agnès Sourdillon, Philippe Torreton, Maria Verdi
Oncle Vania donne la parole à ceux qui passent à côté de leur vie, ratent leur bonheur. Cette pièce est le moment de crise où la conscience se réveille et sursaute avant que la vie normale, résignée, ne reprenne son cours. Claudia Stavisky réunit des comédiens de talent tels que Philippe Torreton, Agnès Sourdillon, Marie Bunel ou Didier Bénureau pour interpréter cette comédie humaine.
Théâtre du Rond-Point, Paris
du 12 janv. au 25 févr. 2006
- De : Jean-Daniel Magnin
- Mise en scène : Agathe Alexis
- Avec : Joséphine Derenne, Philippe Hottier, Sabine Karbasnikoff, Maria Verdi, Isabelle Wéry
Ouvrons le bide au père Ubu et tirons, déroulons la spirale de ses rouges enfants… tous les dictateurs du 20ème siècle lui sortent des tripes en se tenant par la main : des chauves, des moustachus, des oreilles écartées… Qu’ont-ils en commun ces génies de série B ?
Théâtre du Rond-Point, Paris
du 6 sept. au 29 oct. 2005
- De : Denise Bonal
- Mise en scène : Gilles Guillot
- Avec : Louis-Marie Audubert, Antoine Brétillard, Isabelle Chemoul, Jenny Clève, Rémy Darcy, Héloïse Guillot, Tania Dessources, Philippe Le Mercier, Claude Lévêque, Isa Mercure, Lionel Nakache, Marie Réache, Nicolle Vassel, Maria Verdi
Voici la gare : c'est elle le personnage principal, elle le sait et le fait savoir. Voici la gare centrale : lieu aux histoires meurtries, aux décisions décousues, aux envols vainqueurs, lieu des larmes chaudes et des mains jointes et des serments hâtifs, lieu des derniers sourires, des paroles qu'on n'oubliera jamais et des baisers donnés pour la vie, c'est le départ.
Théâtre du Rond-Point, Paris
du 4 au 28 mars 2004
1H15
- De : Roland Dubillard
- Mise en scène : Caterina Gozzi
- Avec : Thierry Bosc, Luc-Antoine Diquéro, Maya Mercer, Maria Verdi
Les hôtes ont des moustaches qui font exploser les rasoirs. Un seul de leurs pieds dans la baignoire et la baignoire déborde. S’ils mangent, le homard leur pince l’estomac pour qu’ils vomissent. Le clair de lune, leur ombre à peine entrée, se refuse à entendre leurs voix et se confond en éclats avec la chute sur eux de l’armoire à vaisselle. Et ils sont malheureux, accidentés, malades. Alors, au lieu de se plaindre avec sérénité, leur méchanceté atteint son comble et ils s’en prennent à leurs hôtes…
Bouffes du Nord, Paris
du 21 mai au 30 juin 2002
2H30
- De : Anton Tchekhov
- Avec : Jean-Claude Jay, Florence Giorgetti, Georges Teran, Chloé Réjon, Madeleine Franco, Thierry de Peretti, Maria Verdi, Jérôme Kircher, Julie Harnois
La mouette, oiseau étrange et fascinant, grand point d’interrogation qui me
permet de mettre en abyme et de résoudre mes propres questions de jeune metteur en
scène, de partir à la recherche de ces fameuses « formes nouvelles » dont parle
Treplev et dont je ressens si fort le besoin sur un plateau de théâtre. C
Maison de la Culture de la Nièvre, Nevers cedex
du 23 au 24 avr. 2002
2H30
- De : Anton Tchekhov
- Avec : Jean-Claude Jay, Florence Giorgetti, Georges Teran, Chloé Réjon, Madeleine Franco, Thierry de Peretti, Maria Verdi, Jérôme Kircher, Julie Harnois
La mouette, oiseau étrange et fascinant, grand point d’interrogation qui me
permet de mettre en abyme et de résoudre mes propres questions de jeune metteur en
scène, de partir à la recherche de ces fameuses « formes nouvelles » dont parle
Treplev et dont je ressens si fort le besoin sur un plateau de théâtre. C
