Répété en 1979 dans une sorte d’insouciance, en seulement deux semaines et sans enjeu particulier, La Rose et la Hache est un bijou, un des spectacles les plus fameux du metteur en scène et de son complice de jeu, Ariel Garcia-Valdès. Quarante ans après la création, les deux artistes se retrouvent pour une ultime reprise, célébrant avec le public une longévité singulière dans un art par nature éphémère.
Inspiré de Richard III de William Shakespeare, mais dans la version dépouillée de tout contexte historique de l’Italien Carmelo Bene, La Rose et la Hache s’attache à la personnalité du monstre Richard et à son rapport aux femmes. Dans une magnifique scénographie, une longue table de bois recouverte de centaines de verres à pied remplis de vins aux robes variées, on est face à une vision, secrètement rétrospective, dont le protagoniste est à la fois le sujet et l’acteur halluciné. Enfermé dans la chambre mentale qu’est devenue la scène, il retraverse, instant après instant, son terrible passé. Cette suspension du temps confère au spectacle une sorte de densité toxique, charnelle et spectrale à la fois.
Pour quelqu'un qui ne va pas au théatre je me suis demandé ce que que c'était, les huitres, les defilés façon évadé de l'asile, étrange, cheulou dirait l'autre.
Je l'ai vue à la Maison de la Culture de Grenoble en 1979. J'étais étudiante en Lettres Modernes à Grenoble. J'ai été subjuguée par cette mise en scène jubilatoire. J'en ai encore des souvenirs impérissables. Je vais aller à Saint-Denis pour la revoir. Je crois que je vais être de nouveau subjuguée par les effets de rapidité et de saccades dus à l'utilisation des "stroboscopes". Mille merci à Lavaudant et Garcia-Valdez de reprendre ce bijou absolu. Miriam
Je l'ai vue à Paris, à l'Odéon. Cela reste encore ma meilleure expérience théatrale depuis 2004. Enfin un théâtre vivant, pas rébarbatif, novateur. J'avancerais le mot génial pour la mise en scène mais je resterais à "exceptionnelle" . Un pur moment de bonheur. Quelle dommage, mais quel dommage qu'elle n'ait pas été rejouée !! Merci pour cette pièce.
je dirais plutot que c'est une oeuvre d'art qui surprant, mais qui, dans cette originalité fait de cette piéce un véritable chef d'oeuvre!
Pour 2 Notes
Pour quelqu'un qui ne va pas au théatre je me suis demandé ce que que c'était, les huitres, les defilés façon évadé de l'asile, étrange, cheulou dirait l'autre.
Je l'ai vue à la Maison de la Culture de Grenoble en 1979. J'étais étudiante en Lettres Modernes à Grenoble. J'ai été subjuguée par cette mise en scène jubilatoire. J'en ai encore des souvenirs impérissables. Je vais aller à Saint-Denis pour la revoir. Je crois que je vais être de nouveau subjuguée par les effets de rapidité et de saccades dus à l'utilisation des "stroboscopes". Mille merci à Lavaudant et Garcia-Valdez de reprendre ce bijou absolu. Miriam
Je l'ai vue à Paris, à l'Odéon. Cela reste encore ma meilleure expérience théatrale depuis 2004. Enfin un théâtre vivant, pas rébarbatif, novateur. J'avancerais le mot génial pour la mise en scène mais je resterais à "exceptionnelle" . Un pur moment de bonheur. Quelle dommage, mais quel dommage qu'elle n'ait pas été rejouée !! Merci pour cette pièce.
je dirais plutot que c'est une oeuvre d'art qui surprant, mais qui, dans cette originalité fait de cette piéce un véritable chef d'oeuvre!
je confirme, j'ai vu cette pièce au TNP pédant, barbant, navrant que dire de plus?
Cette adaptation d'une autre adaptation de Richard III est prétentieuse, dysharmonieuse et incompréhensible. William, wake up and kick their sad asses!
59, boulevard Jules Guesde 93207 Saint-Denis
Voiture : Depuis Paris : Porte de la Chapelle - Autoroute A1 - sortie n°2 Saint-Denis centre (Stade de France), suivre « Saint-Denis centre ». Contourner la Porte de Paris en prenant la file de gauche. Continuer tout droit puis suivre le fléchage « Théâtre Gérard Philipe » (emprunter le bd Marcel Sembat puis le bd Jules Guesde).