La belle vie

Venez voir le Loft des Aristos au Théâtre !

• Une comédie révolutionnaire

La Belle vie, une comédie révolutionnaire de Jean Anouilh écrite pour la télé, inédite au théâtre et qui n'est pas sans rappeler nos émissions de télé-réalité actuelles : « Le loft des Aristos » en quelque sorte...

Dans un pays imaginaire où « les Révolutionnaires » viennent de prendre le pouvoir, les prisons sont pleines d’aristocrates qui attendent leur exécution. Seule la famille Von Valençay sera épargnée afin que le peuple puisse venir la regarder vivre comme des singes dans un zoo. C'est dans ce « musée du peuple » que scènes de ménage, vie frivole, alcool, jeu, débauche et règlements de compte se disputeront la place.

• Une pièce inédite

La Belle Vie est née de la rencontre de Jean-Philippe Daguerre avec Colombe Anouilh, qui lui confia cette pièce inédite de son père écrite en 1979. C’est en collaboration avec la Cie Jacques Auxenel / Annie Chaplin et la Cie Le Grenier de Babouchka qu’elle est montée aujourd’hui et présentée au Théâtre des Variétés à Paris. Déjà jouée en 2011 au Pays Basque chez Jean-Philippe Daguerre, à Montoire sur le Loir chez Annie Chaplin et Jacques Auxenel au Théâtre du Silo et en tournée dans toute la France, elle arrive à Paris avant sa participation au prochain Festival d’Avignon.

• La presse

« Allez voir Annie Chaplin dans La Belle Vie au Théâtre des Variétés ! Vous y retrouverez toute la férocité d'Anouilh dans ce formidable Musée du Peuple où les aristocrates doivent lever leur petit doigt en tenant leur tasse sous peine d'être fusillés par les camarades Révolutionnaires. » Michel Field, Europe 1

« La satire est menée à gros traits et n'épargne personne, les révolutionnaires ni plus ni moins que les aristocrates. La pièce n'est pas vraiment idéologique, la fable pas vraiment morale, on est dans la férocité au premier degré. Il y a de bons moments à la Feydeau et quelques répliques ou quelques tableaux tordants. Daguerre mène bien sa jeune troupe qui joue avec ferveur un texte qui valait d'être sorti de l'ombre. » Philippe Tesson, Figaro Magazine

« La fille de l’auteur a confié à Jean-Philippe Daguerre le soin de mettre en scène cette pièce cynique, qui porte un regard mordant sur l’ensemble de la société. Des aristos odieux et prétentieux, des révolutionnaires bas de plafond, tous sont caricaturés, et Anouilh s’amuse à les singer sans jamais les condamner vraiment. Burlesque et intelligente, cette tragi- comédie sera présentée cet été au Festival d’Avignon. » Direct-Matin

« L’ironie acerbe d’Anouilh fait recette. Il y a aussi une belle énergie chez ces comédiens et un plaisir évident. Annie Chaplin, la dernière fille du célèbre Charlot se glisse dans le costume de la comtesse avec bonne humeur. » Dimitri Delorme, Pariscope

« Ecrite spécifiquement pour la télévision en 1979, La Belle vie est l’une des rares pièces de Jean Anouilh encore inédites au théâtre. Elle est à l’affiche du Théâtre des Variétés depuis le 18 avril et comme souvent chez l’auteur de Colombe, la noirceur et l’humour sont au service d’une comédie révolutionnaire et terriblement actuelle. Mais attention, chez Anouilh, la caricature n’est jamais très éloignée de la réalité… susceptibles s’abstenir. » Rappels n° 88

« Dans cette irrésistible comédie inédite et révolutionnaire de Jean Anouilh, les excellents comédiens s'en donnent à cœur joie pour notre plus grand plaisir ! C'est un pur régal de découvrir ce Musée du peuple au théâtre des Variétés. La mise est en scène est pertinente, fantaisiste et pleine de belles surprises ! Il serait vraiment dommage de s'en priver mais aussi d'en dévoiler davantage. Cette pièce nous offre tout simplement de grands moments de bonheur ! » Michel Guyau, Star n°1

« Un mélange de farce et d'ironie qui n'épargne ni les riches ni les pauvres. Dans cette comédie satirique composée à la fin de sa vie, Anouilh s'en prend à la fois aux aristocrates méprisants et au peuple prêt à virer dans un extrême inverse. En même temps, il pose un regard tendre sur la grand-mère qui tricote pour les pauvres, ou le camarade Albert, nostalgique de l’ordre ancien où il était domestique. D'une certaine façon, chacun, alors, jouait un rôle, dit-il. Chacun joue donc un rôle caricatural, créant un spectacle grotesque et boulevardier qui met en abyme la pièce elle-même. Tous les acteurs jouent au diapason d'une performance enlevée, pleine d’énergie et de jeux de scène. » J. B, Visioscène