La Maladie de la mort est sans doute l’un des plus beaux textes de Duras. En une trentaine de pages, c’est toute l’humanité souffrante et esseulée qui est mise en lumière. C’est aussi un texte sur le désir, désir de l’autre, de l’inconnu. Et un texte sur la peur. La peur de l’autre, la peur de la maladie, la peur de la mort. Un texte qui nous parle d’aujourd’hui.
Un homme paye une femme pour que, pendant plusieurs jours, elle s’allonge nue dans un lit, dans une chambre face à la mer et se soumette. Il essayera d’aimer.
Chez Duras, c’est dans les mots et dans l’atmosphère qu’ils posent, que le récit se met réellement à prendre vie. Et corps.
La Maladie de la mort est sans doute l’un des plus beaux textes de son auteur. En une trentaine de pages, c’est toute l’humanité souffrante et esseulée qui est mise en lumière. C’est aussi un texte sur le désir, désir de l’autre, de l’inconnu. Et un texte sur la peur. La peur de l’autre, la peur de la maladie, la peur de la mort. Un texte qui nous parle d’aujourd’hui.
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