Laurent Baffie est un sale gosse

Spectacle interdit aux moins de 12 ans.

Représentation spéciale pour la Saint-Valentin le 14 février 2011 : tarif unique 50 euros pour les couples + un sextoy offert.

Le roi de l’impertinence est de retour ! Et pour l’occasion, il est seul sur scène, avec en prime, pour son premier one man show, une version interactive. Et clairement, il affiche son ambition : « faire rire, faire réfléchir, et pourquoi pas faire jouir ! » (sic ). Ames sensibles s’abstenir. Deuxième degré recommandé… voire exigé !

Question impertinence, Laurent Baffie n’en est évidemment pas à ses débuts. Dès 1985, il collabore avec Jean-Marie Bigard pour l’écriture de ses sketchs. En 1991, Thierry Ardisson le remarque et l’embarque dans son équipe de joyeux lurons pour Double Jeu d’abord comme pro des caméras cachées puis comme intervenant caustique auprès des invités. La légendaire impertinence « à la Baffie » devient vite un véritable style, souvent copié, jamais égalé. Certaines de ses « vannes » deviennent cultes : qui a oublié le délirant « Nan, j’peux pas, j’ai piscine » ?

Pivot des talk-shows sans tabou d’Ardisson, Baffie collabore sur toutes ses émissions, jusqu’à Tout le Monde en Parle. Alors sale gosse ou enfant terrible du PAF ? Réponse sur scène…