Avons-nous notre place sur Terre, nous qui avons tant de mal à en prendre soin ? À travers l'oeuvre de Gustav Mahler, Philippe Quesne nous interroge et explore le lien entre l’Homme et la Nature.
Avons-nous notre place sur Terre, nous qui avons tant de mal à en prendre soin ? Sommes-nous capables d’être plus attentif à la Terre, plutôt que de simplement l’occuper ? Par sa mise en scène, Philippe Quesne nous interroge. Il explore le lien entre l’Homme et la Nature, à la lumière de ses vulnérabilités et de ses possibilités et nous livre ses réflexions sur l’Anthropocène.
« Tout est désormais thématique, même les accompagnements, et l’on s’oriente vers le « total thématisme » de Schönberg » note Henri-Louis de La Grange à propos de ce Chant de la Terre (1908) où Gustav Mahler parvient à unifier lieder et symphonie, les deux genres auxquels il a consacré sa vie. Malade et inconsolable de la mort de sa fille aînée, Mahler confie sa partition à son disciple Bruno Walter qui la dirigera pour la première fois en 1911, six mois après la mort du compositeur.
Avec l'Ensemble Klangforum Wien.
1, place du Châtelet 75001 Paris