Le bal des pompiers

• Humour et tendresse autour de la différence

Ce spectacle, mis en scène par Bruno Delahaye, aborde avec humour et tendresse le thème de la différence, celle de Gabin, enfant autiste et hyperactif (né le jour du fameux bal, fils de Laurent Savard, auteur et interprète du spectacle) mais aussi (et surtout) celle de tous ceux qui croisent son chemin. Pédiatre, psy, potes... tous différents à l'insu de leur plein gré !

Ce sujet nous concerne tous, Le bal des Pompiers est donc un spectacle qui se veut tout public, dans le sens accessible à toutes et tous, quelles que soient nos différences… il est ainsi traduit simultanément en Langue des Signes par Jean-Luc Gaudin pour le public malentendant.

Dans Le bal des Pompiers, Laurent Savard est également accompagné au piano par Anaïs Blin, épousant ainsi le spectacle au rythme des personnages.

Par la Compagnie Dramatis Personae.

• La presse

« Aussi puissant et bouleversant qu’Où on va papa ? de Jean-Louis Fournier. Autant de scènes dignes d’un Strip-Tease. C’est drôle, tendre, effrayant, émouvant » Le Monde

« Le bal des Pompiers met le feu aux préjugés (…) un spectacle à ne manquer sous aucun prétexte » Le Parisien

« Laurent Savard mêle le rire à l’émotion pure (…) que l’on soit ou non concerné par le problème d’enfants différents » Caroline Fabre - YouHumour

« L’un des spectacles qui fait le plus parler de lui actuellement en France (…) Avec une dose d’humour noir peu commune, ce one-man-show a d’entrée frappé fort coté critique et public. » Olivier Bonnefon - Sud Ouest

« Laurent Savard veut faire évoluer l'humour par rapport au handicap. Avec ce spectacle plein de tendresse et de drôlerie, le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il y réussit ! » Alain Rousset - Le Progrès

« Doué d’une bonne dose d’humour noir, tout comme son pote Stéphane Guillon. Tournés en ridicule, ces personnages qu’il incarne font à la fois rire et flipper (…) Et si on rit beaucoup, on éprouve aussi beaucoup de tendresse pour ce gamin incompris qu’on a l’impression de voir sur scène tant le comédien lui donne chair. » Anthony Lesme - Bakchich