Comédie de W. Shakespeare où de nombreux personnages s'entrecroisent dans une forêt étrange, un peu magique, le temps d'une nuit d'été ensorcelante.
Deux couples d'amoureux transis, une dispute entre le roi des elfes et la reine des fées, Puck et sa potion qui s'en mêlent et une troupe de comédiens amateurs qui préparent une pièce pour le mariage d'un prince, tous vont s'entrecroiser dans cette forêt étrange, un peu magique, le temps d'une nuit d'été ensorcelante qui ressemble à un rêve.
Une mise en scène à priori alléchante, très dynamique et accentuant le côté cirque, avec une mise en valeur conséquente des acteurs-clowns. Mais, à décharge, le texte est dit bien trop rapidement, l'émotion est absente, la poésie gommée. Les excentricités sensualo-acrobatiques des acteurs ne peuvent faire oublier une relative infidélité à l'oeuvre. Il ne se dégage ni romantisme, ni rêve. Les fées sont bien pâles; les costumes accentuent ce côté improvisé. L'étonnante plasticité des corps, la capacité de changement de personnage par les mêmes acteurs, le part pris caricatural ne peuvent faire oublier qu'il s'agit là d'une très grande pièce poétique, langoureuse et onirique, tous aspects volontairement effacés.
Pour 1 Notes
Une mise en scène à priori alléchante, très dynamique et accentuant le côté cirque, avec une mise en valeur conséquente des acteurs-clowns. Mais, à décharge, le texte est dit bien trop rapidement, l'émotion est absente, la poésie gommée. Les excentricités sensualo-acrobatiques des acteurs ne peuvent faire oublier une relative infidélité à l'oeuvre. Il ne se dégage ni romantisme, ni rêve. Les fées sont bien pâles; les costumes accentuent ce côté improvisé. L'étonnante plasticité des corps, la capacité de changement de personnage par les mêmes acteurs, le part pris caricatural ne peuvent faire oublier qu'il s'agit là d'une très grande pièce poétique, langoureuse et onirique, tous aspects volontairement effacés.
2, passage du Bureau 75011 Paris