Revivre en chanson les grandes années Saint Germain
Note du directeur artistique
La presse
De 1946 à 1960, Saint Germain des Prés a vu déferler une vague éblouissante : Vian, Prévert, Les Frères Jacques, Mouloudji… À travers leurs plus belles chansons, une femme se raconte avec humour.
"Saint-Germain, c’est une âme, un village. On n'y respire pas comme ailleurs, le café n’y a pas le même goût. Depuis longtemps, l’idée me hantait de faire revivre en chansons les grandes années Saint Germain. Encore fallait-il un musicien d’exception pour orchestrer le spectacle ! C’est à Roland Romanelli dont j’avais vu, à l’Européen, le magnifique hommage à Barbara que j’ai confié mon projet. Et c’est un honneur pour moi qu’il ait accepté de le superviser. Du swing à la romance en passant par le cœur, grâce à lui, je reviens donc à la chanson, mon premier amour…" Corinne Cousin
"Un soir de printemps 2003, à l’occasion de Ma plus belle histoire d’amour, Barbara, un étonnant personnage m’attend dans le hall de l’Européen. C’est Corinne Cousin. Très vite une conversation sincère s’instaure… Passionnée et généreuse, elle m’explique avec enthousiasme son désir de faire revivre en chansons le désormais mythique quartier de Saint-Germain-des-Prés, de l’après-guerre jusqu’à la fin des années 1950. Musicalement, ces chansons sont de vrais bijoux !
Ayant par le passé accompagné Barbara, Mouloudji, Serge Lama, mais aussi Guy Béart, Charles Trénet, et bien d’autres encore, je suis immédiatement séduit par cette belle idée… Je succombe et accepte de m’associer à l’aventure.
Nous avons alors retravaillé les arrangements musicaux en harmonie avec la couleur vocale et le singulier tempérament de Corinne Cousin. Et c’est tout naturellement qu’elle s’est appropriée ces œuvres mythiques pour offrir un subtil mélange d’humour et de poésie.
Je me réjouis de me replonger, avec Corinne, dans ce “mood”des années Saint-Germain. Flash-back vers la tendre époque qui a en partie nourri mon éducation artistique… "
Roland Romanelli
« C’est le bonheur… Elle est chez elle ! » France 3
« Un spectacle rare, un vrai régal ! » France Inter
« Un travail formidable ! On aime beaucoup ! » France bleue, la city radio
« Corinne Cousin ressuscite le Saint Germain des Prés des années 50… » Paris Match
« Ce petit bout de femme est époustouflant… Corinne Cousin est une croqueuse de souvenirs ! » Le Figaro Magazine, juin 2004
« Une balade délicieuse dans Les Années Saint-Germain. » Le Parisien
« Coup de cœur pour Corinne Cousin, la diva des Années Saint Germain des Prés… Drôle, émouvante, éblouissante, dès son entrée en scène, on a le coup de foudre ! » Marianne, 21 juin 2004
« C’est avec une gouaille attachante et une spontanéité empreinte d’émotion que la talentueuse et énergique Corinne Cousin ressuscite tout un pan de l’histoire parisienne… » L’humanité
« Une vraie plongée dans le Paris de l’après-guerre. Corinne Cousin ressuscite le mythe Saint-Germain ! » France Soir
« C.Cousin vous propose de monter sur son manège enchanté et de vous replonger dans le « mood » de l’âge d’or de Saint-Germain-des-Prés. » A Nous Paris, 27 septembre 2004
« Bourrée d’énergie, C. Cousin brûle les planches avec la complicité et le talent de musiciens prestigieux…» Actualité juive, 23 décembre 2004
« Un spectacle chaleureux. » Lesbia Magazine, juin 2004
« Avec verve, gouaille et humour, elle nous entraîne dans la vie de bohème. » Le Généraliste, 5 novembre 2004
« Corinne Cousin rend là un magnifique hommage aux chansons et aux auteurs de l’après guerre. » Campus mag, mai 2006
« Tantôt snob, canaille, gourmande, étrange... elle est toujours de la fête. » Famille chrétienn, 2 juillet 2006
« Son tempérament de feu sert un spectacle entre poésie et humour.» Gala, 24 novembre 2004
« On craque pour ce spectacle chanté et enchanteur ! » L’Expansion, novembre 2004
« Un joli moment de nostalgique gaieté… » La Terrasse, juin 2004
« Un trio expérimenté et plein d’humour ! » La Tribune, 25 mars 2005
« Au chant il y a Corinne Cousin, une présence, un phrasé, une vérité.» Le Monde, 2 décembre 2005
« L’oeil pétillant et d’une voix alerte, elle nous rappelle le talent d’écriture des paroliers nourris de l’insouciance de la libération. » Le Nouvel observateur, 6 janvier 2005
« De sa gouaille de titi, elle reproduit avec brio les timbres de l’époque. » VSD, 22 décembre 2004
8, rue de Nesle 75006 Paris