Ce quatuor de comiques déjantés propose l'une des plus audacieuses et loufoques entreprises de déconstruction qu'on ait vue au théâtre depuis longtemps. De 7 à 77 ans...
« Pouvez-vous nous expliquer brièvement votre vision de l’homme de sa naissance à aujourd’hui ? » Voici l’intitulé d’une enquête d’opinion que nous avons mené dans un pub irlandais « Le Oliver St John Gogerty ». Au début dans le bar, personne n’est d’accord avec personne, alors on passe sur le tout début début de l’Homme…
Pour la suite et bien tout le monde s’accorde à dire que c’est le progrès qui semble le plus avoir marqué l’évolution del’homme. Mais alors que certain vantent les avancées de la médecine, d’autres parlent de meilleure productivité agricole alors que d’autres encore s’insurgent et crient contre l’esclavage généralisé… Sans parler de ceux qui vous parlent et reparlent du premier pas sur la lune. Certains, encore, se réjouissent de l’avènement du rock and roll alors que d’autres se plaignent de la perte destraditions…
Bref, il est tard, le St John Gogerty ferme et nous conclurons sur le trottoir que finalement, les conflits d’intérêts et la loi du plus fort après avoir passé les siècles avec succès, semblent avoir maintenant, un goût d’éternel recommencement.
C’est donc à partir de cette enquête d’un soir, que nousavons pu recréer une histoire de l’évolution de l’homme, qui respecte au maximum la vision de chacun des sondés…
Notre premier spectacle Le saut de la mort était une sorte de spectacle forain puis nous avons fait Le cabaret des Chiche Capon, un cabaret s’inspirant de la grande tradition du music-hall et aujourd’hui nous présentons un spectacle de théâtre qui va puiser dans des formes diverses, comme la pantomime, le « grand théâtre à la française » ou encore l’opéra de Pékin.
« Le trio comique donne sa propre vision de l’histoire de l’homme… Sans prétention autre que celle de faire rire… Grand moment ! » Télérama
« Ils nous font rire aux larmes avec leur immense talent de clowns, muets ou hurleurs, agités du bocal assurément ! » Le Point
« Les Chiche Capon utilisent les ressorts de l’art du clown et nous font retomber avecplaisir dans notre enfance. D’ailleurs les rires des spectateurs les plus jeunes sontcommunicatifs et ajoutent de l’interactivité dans le spectacle. Les gags sont hilarants,simples, et efficaces. Ils utilisent la pantomime, l’absurde, la poésie. Leur dégaine surscène déclenche à elle seule le rire. » www.sceneweb.fr
« Avec très peu de dialogues mais jonglant essentiellement entre cris etsilences, Fred Blin, Matthieu Pillard et Ricardo Lo Giudice nousentraînent dans un délire dévastateur où l’on oublie sans difficulté sespetits tracas quotidiens. Cela n’a l’air de rien mais réussir simplement çaest un exercice hautement périlleux qu’ils maîtrisent avec unremarquable savoir-faire et un sens de l’autodérision consommé. » Froggy's Delight
« Les Chiche Capon, zigotos qui ont déchaîné nos zygo au Café de la Gare, présentent Le Oliver St John Gogerty, parodie paranormale de Il était une fois... l'homme, le dessin animé qui a bercé plus d'une enfance sur FR3. Une saga de lapréhistoire à aujourd'hui. À ceci près qu'ici, les narrateurs se comportent très étrangement, enchaînent les cascades et la castagne et se fourrent dans des situations inextricables - l'épisode de l'échelle, carrément barré, vaut le détour. L'essentiel pour ces loufoques est de s'amuser et de nous défouler. Mission accomplie ! » lepoint.fr
« On rit à gorge déployée » Pariscope
« Des clowns désopilants » Nouvel Obs
« Il faut courir les voir » Shirley et Dino
Personnellement, j'ai trouvé ça nullissime, pas professionnel, consternant. Une pochade de préado pas inspirés. Je dois dire qu'une bonne partie du public avait l'air d'apprécier. Cela me laisse perplexe.
Un vrai bonheur, la rencontre des Monty Python avec les robin des bois, tous les registres de l'humour, du 1er au 12è degré, voire à la 4è dimension... attention aux spectateurs du 2è rang...
Personnellement, j'ai trouvé ça nullissime, pas professionnel, consternant. Une pochade de préado pas inspirés. Je dois dire qu'une bonne partie du public avait l'air d'apprécier. Cela me laisse perplexe.
Un vrai bonheur, la rencontre des Monty Python avec les robin des bois, tous les registres de l'humour, du 1er au 12è degré, voire à la 4è dimension... attention aux spectateurs du 2è rang...
7 rue Louis Le Grand 75002 Paris