Les Misérables

• Un chef-d'oeuvre et des santons

C’est l’histoire d’un homme qui a tout perdu, paria de la société, poursuivi par son passé de bagnard et qui se sacrifie pour le bonheur d’une enfant que le sort lui a confié.

C’est l’histoire d’une femme victime, réduite à vendre son corps et à abandonner son enfant ; d’un policier fanatique et infatigable, d’un gamin des rues impertinent et libre, d’un jeune homme révolté et rêveur qui tombe amoureux, d’un peuple aux abois qui se soulève et défend son idéal jusqu’à la mort ; d’une justice inique ; du combat en l’homme entre le Bien et le Mal.

C’est l’histoire d’une course-poursuite qui dure des années, d’un homme dont la conscience est sans cesse mise à l’épreuve et qui se sacrifie toujours, d’une enfant qui grandit et devient femme, d’un amour qui fleurit sur le sacrifice. Santons, statuettes en porcelaine ou plâtre, photos, puzzles, reproductions de tableaux célèbres, poupées folkloriques trafiquées, silhouettes découpées dans une anthologie de la photographie, marionnettes à gaine grossièrement cousues. Voilà pour les objets qui seront les protagonistes de cette histoire hors du commun.

Mais n’ayons crainte, Valjean, Fantine, Thénardier, Cosette, Gavroche et l’infâme Javert seront bien tous au rendez-vous !

• La presse

« Ample, précis, romantique et engagé, le spectacle sonne juste de la première à la dernière confrontation entre Javert et Jean Valjean. Le spectateur se laisse guider par l’humanité et l’intelligence de cette adaptation. » La Libre Belgique

« Quoi de mieux que cet univers de petits riens pour raconter le destin de ces misérables  ? » Emission Entrez sans frappez, La Première

« Avec leur théâtre d'objets, ces Belges réussissent une nouvelle fois (...) à faire vivre les figures les plus marquantes de ce grand récit littéraire. On salue des choix intelligents de mise en scène, de dramaturgie et de scénographie, une interprétation toujours juste, entre humour et profondeur, et une maîtrise parfaite de la manipulation. Une miniature brillante. » Françoise Sabatier-Morel, Télérama TTT