présentation
Ce quen dit la presse
Ce quen dit le public
La Compagnie Catherine Brieux
Loin du marivaudage du monde peint par Watteau, largent, la condition sociale, larrivisme font jeu égal avec lamour. La question sociale est là et les curs ne sont plus si purs. Ce nest plus seulement « le jeu de lamour et du hasard », mais bien aussi « le jeu de lamour et du calcul ».
« Catherine Brieux a relu Les fausses confidences avec un filtre contemporain : les rapports sociaux sont aussi importants que les rapports amoureux. La langue, magique, est défendue avec beaucoup de conviction par des comédiens qui ont su former une troupe. »
Le parisien - Agnès Dalbard
« En situant laction de ces Fausses confidences au XIXè siècle, celui de largent roi et de larrivisme forcené, Catherine Brieux ajoute une force insoupçonnée au propos de Marivaux. Les acteurs y sont dune fraîcheur désarmante. Un spectacle réussi et deux heures de plaisir. »
Zurban - André Fetet
« La pièce est formidable. Un beau décor, un dispositif scénique
astucieux, un très grand respect du texte, sont les ingrédients de la réussite de ce
spectacle.
Des comédiens bien choisis, Maia Guéritte, subtile Marton, Richard Delestre, juste
Dorante, Sébastien Azzopardi. Tout cela fait un spectacle des plus sympathiques avec son
petit plus : celui de rencontrer des personnages comme si vous étiez chez eux. »
Le Figaro Scope - Jean-Luc Jeener
« Loptimisme dont on a longtemps crédité Marivaux laisse ainsi toute grande la place à une violente critique de linjustice sociale, de larrivisme, de la fatuité de toute position sociale et à une peinture acide de la bourgeoisie. La distribution est parfaite. Un spectacle plein dintelligence. »
Marianne Myriam Perfetti
« Un Marivaux plus terre à terre que jamais où largent, la condition sociale, larrivisme font jeu égal avec les sentiments. »
Courrier Cadres de lApec - Pierre-Marc Levergeois
« Etonnante modernité de Marivaux ; les intrigues de cur et dargent
ont-elles tant changées ? Votre interprétation virevolte. » E. Taieb
« Bravo, un spectacle délicieux cruel et réjouissant. »
« Comme dhabitude, une superbe soirée
avec un 18è siècle « basculé » au
19è siècle, de manière très inattendue et convaincante
» G. Gallais
« Bravo pour ce divin moment qui nous transporte dans une langue magnifique. Un grand
merci à tous ! »
« Bravo, bravissimo ! ! I will come back. » C.R.K
« Bravo à tous et de tout mon cur. Jai vu jouer Pierre Fresnay, Berthe Bovy,
Béatrix Dussane et vous mavez tous charmé par votre talent. » Pierre Gérald
« Voilà le théâtre que lon aime ! ! ! » Marianne
« Excellent ! Beaucoup de beauté dans les décors, la mise en scène. On est pris par la
grâce et lémotion. Merci ! » A.B.
« Marivaux doit être ravi davoir été aussi bien servi. Quel bonheur ! Bravo à
toute la troupe et à la mise en scène.» Pierre Tartan
« Quel bonheur ! Une soirée charmante, fraîche et enlevée. Si jaffectionne
particulièrement les « petites scènes », jespère pour vous les plus grandes
scènes. Merci pour cette soirée. » Jacqueline Yvelin
« Une découverte, une compagnie, un théâtre et le plaisir de redécouvrir Marivaux.
Merci. » Nathalie Dupuy
« Que dire, que dire ? Les superlatifs sont usés. Somptueux, fin, délicat, juste,
nuancé, chaque personnage a un caractère bien marqué et adapté, la mise en scène
respectueuse du texte, de lesprit de la pièce et
du public. Un moment hors
du temps. » J.J. Guérout
Le spectacle Le jeu de lamour et du hasard, monté par la compagnie la saison dernière, a obtenu le Prix Charles Oulmont. Elle aborde cette année Les fausses confidences, uvre majeure de Marivaux, la dernière pièce en trois actes qui porte la maturité de son auteur. Les personnages ont vieilli. La fougue de la jeunesse a fait place à une certaine gravité. Les héros ont la révolte des romantiques hugoliens. Si en analyste du cur, Marivaux « guette toutes les niches où peut se cacher lamour », si lamour, comme dans toute son uvre est au centre de la pièce, lêtre social prend ici toute son importance. Ce nest plus seulement « le jeu de lamour et du hasard », mais bien aussi « le jeu de lamour et du calcul ». Loin du marivaudage du monde peint par Watteau, largent, la condition sociale, larrivisme font jeu égal avec lamour. La question sociale est là et les curs ne sont plus si purs.
10, rue des Cinq Diamants 75013 Paris