Les frères Taloche

du 2 novembre au 31 décembre 2006
1h15

Les frères Taloche

Dans un univers où ils ne peuvent être comparés à personne, ces duettistes - frères à la ville et partenaires complices sur scène - nous invitent à un voyage extraordinaire où le mime musical, les numéros visuels et autres sketches burlesques s’enchaînent pour notre plus grand bonheur. Un excellent spectacle familial de début de soirée (19h).

Un voyage burlesque
Ce qu’ils ont dit d’eux
Revue de presse
Entretien avec les Frère Taloche

  • Un voyage burlesque

Dans un univers où ils ne peuvent être comparés à personne, ces duettistes frères à la ville et partenaires complices sur scène, nous invitent à un voyage extraordinaire où le mime musical, les numéros visuels et autres sketches burlesques s’enchaînent pour notre plus grand bonheur.

Gérard Oury
"J’ai follement ri à des duos d’acteurs et même à des solos comme en son temps le numéro Cachard de l’extravagant M. W.C. Fields, sans parler du Dieu Chaplin, de Buster Keaton, de Tati, des Marx Brothers et aujourd’hui de Woody Allen. Tous ces gens là ne sont-ils pas des bienfaiteurs d’une humanité triste parce que le monde tourne mal et que les problèmes quotidiens nous serrent à la gorge ? Alors, rire à gorge déployée - et c’est ce qui m’est arrivé un soir de cafard au théâtre Caumartin en découvrant deux Extraordinaires jeunes belges en vadrouille à Paris - quel merveilleux cadeau !

En fait de vadrouille je me suis bien amusé dans la vie avec Bourvil, de Funès et Montand Pierre Richard et Lanoux, Boujenah et Anconina, j’en passe et des meilleurs. Et voilà que m’arrivent en pleine figure deux types étonnants, jonglant avec un comique visuel fort et fin à la fois, doués d’une force de frappe efficace et jamais vulgaire. D’où venaient donc ces garçons ? Ils cassaient la baraque, Les frères Taloche.

Je retournai plusieurs fois voir ce spectacle, y emmenant ma famille et mes amis proches aussi enthousiastes que moi. Les gifles que vous assènent à tout va les Taloche, ne sont point en vérité des Taloches mais des exocets comiques qui font mouche à tout coup et je suis heureux d’être le parrain de leur spectacle. Bravo, bonne chance et bon vent, les Taloche !"

Raymond Devos
"Les frères Taloche, j’adore… c’est la force du geste, le geste poussé jusqu’à la caricature, mais proprement… ça se lie bien et c’est fort. On a l’impression d’une succession d’images, c’est comme les comiques américains. La violence des images qui s’arrêtent."

Michel Boujenah
"On peut penser que ce qu’ils font est facile ! Et bien non. C’est formidable d’aller au bout du burlesque sans jamais être vulgaire ! Ils sont vraiment drôles et en plus, tendres parce que fragile. Tout cela, Madame, Monsieur, c’est les frères Taloche."

Jean-Claude Brialy
"Trouvailles acoustiques, visages élastiques. Ces deux belges sont très drôles. Leurs maîtres, les Marx Brothers, seraient heureux de les reconnaître comme leurs enfants inspirés et poétiques. Le burlesque sans bassesse !"

Anne Roumanoff
"Ces deux Taloche-là, plus je les connais, plus je les apprécie. Bruno et Vincent ne sont pas seulement de bons comédiens mais aussi des êtres humains délicieux. Gageons que ces deux-là, avec leurs drôles de têtes et leur univers si personnel, n’ont pas fini de faire parler d’eux."

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"Ils nous arrivent tout droit de Belgique, un pays où l’humour est culturel. Vincent et Bruno, vrais frères dans la vie, ont été dotés par les gènes familiaux d’un physique expressif et élastique. Cette association fraternelle a pour seul objectif de nous faire rire. Les frères Taloche parlent à peine, sur scène bien entendu, tout réside dans une gestuelle exploitée au maximum. (...) Ce spectacle en plus d’être fort drôle, est original : les deux compères, vont croquer, style cartoon, petits et grands travers de notre société. A noter les athlètes du monde entier, avec un bel hommage à l’esprit sportif français, télé et canette de bière, le golf avec superbe ralenti, la natation… (...) Et puis le meilleur, ou collés l’un à l’autre, dans une gestuelle pour "mal comprenant", les Taloche nous retranscrivent ce grand texte de la chanson française "j’ai encore rêvé d’elle" du groupe il était une fois. C’est la cerise sur le gâteau, le feu d’artifice, le clou du spectacle, vous pleurez à chaudes larmes de rire, on crie grâce, on trépigne et on en redemande. Préparez vos mouchoirs et courez les voir." Pariscope

"On voudrait que ce soit plus long. C’est varié et sans vulgarité, c’est loufoque et empreint de poésie comme un film d’Harold Lloyd ou de Buster Keaton. Très peu de paroles, une gestuelle toujours renouvelée, des accessoires et des costumes éloquents.(...) La ressemblance de Vincent avec Stan Laurel nous vaut une belle évocation du duo célèbre que les Taloche semblent souvent rappeler." Gala

"Les Taloche nous offrent un spectacle burlesque plein de charme, d’humour et de délicatesse. (...)Beaucoup d’humour et de délicatesse dans leurs meilleurs sketchs telle que la parodie d’un joueur de golf préparant son coup avec la lenteur calculée d’un ralenti télé sur la musique symphonique des "chariots de feu". Le visage de Bruno, feu d’artifice de tics, étant à lui seul un spectacle. (...) Les Taloche travaillent sur le fil du rasoir, un art qui se perd et lance un clin d’œil nostalgique aux grandes figures du cinéma burlesque." Le Parisien

"(...) Bruno et Vincent se complètent avec bonheur. Inoubliable la composition " ous-marine" de Bruno en suspension sur une chaise, et le journal lumineux servant de traduction simultanée à nos amis transformés en adeptes de Vishnou. Regard cruel sur les sectes. Vincent en sportif ou en Stan Laurel. Trouvailles acoustiques, visages élastiques. Ces deux belges sont très drôles, ils sont passés par l’école du cirque cela se voit. Leurs maîtres, les Marks Brothers, seraient heureux de les reconnaître comme leurs enfants inspirés et poétiques. Le burlesque sans bassesse !" Les cahiers de Jean-Claude Brialy, Le Figaro

"Bruno et Vincent clowns et mimes burlesques, ont pour évidente référence : Laurel et Hardy, kilos et tartes à la crème en moins. L’esprit farceur est bien là, enchanteur et enfantin, sans paroles (ou presque) mais avec force grimaces, baffes et énormités qui suscitent toutes les réactions zygomatiques, du sourire au barrissement. La variété des thèmes (thérapie d’un chagrin d’amour, florilèges des J.O. effet d’un film d'épouvantes) va de pair avec d’originales trouvailles, telle l’utilisation exclusive des sifflets pour illustrer les ravages de l’art dentaire." Télérama

"Trouvailles acoustiques, faciès élastiques. Dieu que cette paire wallonne est drolatique. (...) Leur spectacle fourmille d’idées qui n’ont rien en commun avec celles, souvent classiques, de nos habituels duos parisiens. En outre, ces Belges ont la bienséance de ne pas jouer sur leur accent, ils parlent à peine. Tout est dans la gestuelle, la mimique et surtout la bande son minutieusement minutée source de play-back hilarant. Un spectacle original et tout public. Une très bonne surprise." Infomatin

" (...) Enfants terribles des Mark Brothers ou progéniture de Laurel et Hardy ? Nul ne sait. Une chose est certaine : ils sont indissociables tant ils travaillent sur la complémentarité des talents, des gestuels aux mimiques. Ils vous obligent à zapper systématiquement entre regard tourné vers l’un et un autre tourné vers le second. Ces regards arrivent à se croiser, inévitablement certes, mais si naturellement. Ainsi, ils comblent leur public en lui offrant deux spectacles en un seul." Le Quotidien de Paris

"(...) Enfin que dire, si ce n’est que le public avait attrapé des crampes à force de rire, et qu’à la sortie du spectacle, tous étaient unanimes pour dire que ce que l’on ressentait au bout de cette heure et demi de scène, c’était du bonheur. Les frères Taloche, jongleurs de grand talent et leur comique visuel, toujours de bon ton et sans aucune vulgarité, ont conquis Pézenas et ses estivants en balades." Le Midi Libre

"Il y a du mérite et du génie à pouvoir faire l’imbécile de façon aussi fine, à la façon des frères Taloche. Sans exploiter la veine facile des grosses blagues descendant en dessous de la ceinture, ils ont le talent de présenter des numéros de la vie quotidienne, à grand renfort d’imagination. Dans ce nouveau spectacle, on les redécouvre avant tout spécialistes de la parodie, du mime et de la grimace. (...) Sur scène, les Taloche montrent d’une gestuelle inénarrable, les quiproquos, les malentendus, les hypocrisies, tirant une belle salve d’hilarité garantie à partir des difficultés de communication." Vers l’Avenir

"Ils se produisent environ une centaine de fois par an en Belgique, mais aussi en Suisse, en Allemagne et en France (...). Ils recherchent réellement le contact avec le public "pour un travail de fond" afin de le fidéliser. Leur spectacle d’humour visuel dépasse les frontières, car il n’est ni politique, ni agressif. Leur prestation de vendredi laisse présager, sans aucun doute, une ascension médiatique à ce duo irrésistible." Ouest France

"Dès le départ, les deux comiques développent un style burlesque, visuel et poétique. Ils créent même deux spectacles : un premier, purement visuel, leur permet de parler un langage universel ; le second est uniquement accessible pour les francophones. Les premiers coups de Taloche sont lancés ! Avec leurs physiques élastiques, les comédiens débutants n’ont pas trop de mal à faire rire. Surtout le public liégeois, déjà conquis. Les frères connaissent une seconde naissance et trouvent leur voie. Anne Roumanoff et Raymond Devos sont eux aussi séduits et donnent un coup de pouce à leur carrière parisienne. Fin de l’année dernière, les Taloche sont élus meilleurs humoristes par les lecteurs du magazine Flair l’hebdo. Une reconnaissance que la RTBF ne laisse pas passer. Les humoristes signent pour neuf émissions Et gagnent leur pari télé." Téléstar

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Vincent et Bruno, les frères Taloche, sont très, très contents d’avoir autant la côte auprès des lectrices de Flair L’hebdo. Surpris et émus, les deux verviétois se livrent, le temps d’une balade au cœur de Bruxelles. Vincent, le plus jeune, n’hésite jamais sortir un bon mot ou une grimace. Bruno est plus réservé, plus inquiet. Les deux caractères se complètent à merveille. Et ça fait 8 ans que ça dure. Vincent est à l’heure au rendez-vous, mais Bruno est bloqué dans les embouteillages bruxellois.

Quelle est la différence d’âge entre Bruno et Vous ? Trois ou quatre ans ?
Vincent : Et non, c’est beaucoup plus, on a neuf ans d’écart. On est quatre garçons dans la famille, Bruno est l’aîné et je suis le petit dernier. Ma mère espérait que je sois une fille, je me serais appelé Marie-Christine ! Aujourd’hui, cette différence d’âge ne se fait plus sentir, mais quand j’étais petit, mon frère était déjà presque adulte. Par contre, à 30 et 39 ans, ça ne pose plus de problèmes.

Quand vous êtes-vous rapproché de lui ?
Vincent : On a toujours été très proche. Faut dire aussi qu’il est mon parain. J’étais fasciné par ses multiples activités : mime, jonglage… Notre complicité est née quand on a commencé à travailler ensemble. A 15 ans, j’ai fait la régie de ses spectacles. A l’époque, il avait un one man show qui s’appelait déjà Taloche. En 1986, il a gagné le festival de Rochefort et j’étais fier de lui. J’ai fait des études de mécanique automobile. Je suis diplômé et tout ce qu’on veut ! Mais en même temps, je prenais des cours du soir au conservatoire car la scène m’attirait aussi. Pour mes 20 ans, j’ai monté un duo avec un copain, croûton et counuch. Ca marchait bien, on a gagné le concours de "tête d’affiche" à la RTBF. Mais mon ami n’avait aucunement l’ambition d’en faire son métier, et on a dû se séparer. J’ai cherché pendant des mois un partenaire. C’est François Pirette qui, le premier, a eu l’idée de m’associer à mon frère. On n’y avait jamais pensé. Un jour, finalement, Bruno me téléphone et me dit : "Ah j’ai trouvé un partenaire pour toi, tu le connais bien, il est extraordinaire, beau, intelligent… c’est moi !" Avec notre premier sketch J’ai encore rêvé d’elle, tout s’est emballé très vite. Les frères Taloche étaient nés.

Que vous êtes-vous apportés l’un à l’autre ?
Vincent : Bruno est plus posé, réaliste. Moi je suis très optimiste, plus fonceur. Je le motive, il me calme, et on arrive à un bon équilibre. Il est beaucoup plus inquiet, plus angoissé que moi.
Bruno : On a toujours plus d’idées à deux que seul. Il m’apporte son humour, son originalité. Nous sommes vraiment complémentaires.

Vos premiers souvenirs de complicité ?
Bruno : Adolescent, j’avais toujours plein d’amis à la maison, on avait un local où on se réunissait et malgré son jeune âge, Vincent était toujours avec nous. Et puis j’ai senti qu’il était attiré par la scène comme moi.

Ce qui vous fait rire ?
Bruno : J’ai été fasciné par Fernand Raynaud j’admirais son aisance et puis il faisait rire les gens et je trouvais ça magique, et puis il y a le maître : Raymond Devos. Aux scouts, j’imitais des chanteurs, à l’école je singeais les profs et les copains en redemandaient. J’adorais aussi Fernandel, et puis Coluche, j’ai d’ailleurs acheté tous ses disques et ses bouquins.

Vous vous faites rire ?
Vincent : Quand on écrit nos sketchs, si l’un de nous rit à ce que dit l’autre, c’est bien parti !
Bruno : Ca nous arrive de déconner dans la vie, mais on est plutôt calme

Quelle tête ont fait vos parents en voyant émerger deux comiques dans la famille ?
Bruno : Ils étaient inquiets et sont devenus plus confiants avec le succès. Ils sont fiers de nous, viennent nous voir plusieurs fois pendant chaque tournée, mais ne nous posent jamais de questions sur notre boulot.
Vincent : Il y a toujours eu une bonne ambiance à la maison, on rigolait pas mal, mais il n’y a pas d’artiste dans la famille.

Vous vous rappelez votre réaction quand on vous a annoncé que vous auriez encore un frère ?
Bruno : Très bien, j’ai tout de suite pensé à la réaction de ma mère…encore un garçon…. Si Vincent avait été une fille, je serais peut être resté instituteur et je ne serais pas en train de vous parler aujourd'hui…

Votre souvenir le plus pénible ?
Bruno : C’était au début, on revenait de Montréal où on avait fait un triomphe et on devait jouer dans une petit salle près de Liège. Le comité organisateur s’était disputé, n’avait fait aucune pub pour le spectacle, mais ne l’avait pas annulé. Résultat, on a joué devant 15 personnes.
Vincent : Moi c’est un gala privé à Nice pour une grosse boîte. Il n’y avait que des hommes dans le public et ils étaient crevés car ils avaient eu colloque sur colloque toute la journée. Ils n’avaient aucune réaction, ils ne pensaient qu’à une chose : dormir.

Vos grandes passions respectives ?
Bruno : Depuis 5 ans, je pratique le golf et j’ai la chance de pouvoir en jouer à des heures où les terrains sont peu fréquentés. je joue en solitaire, quatre fois par semaine, et ça me détend un maximum.
Vincent : ma plus grosse passion, c’est le métier. Je suis toujours en train de chipoter, de gérer, je suis très bureau. Sinon, j’adore mes amis. On est quatre, les quatre mousquetaires, on se connaît depuis 15 ans, on part en vacances ensemble, on est inséparable, on se voit deux fois par semaine et c’est rare une telle amitié. Enfin j’aime bien la mécanique et les motos. Et j’ai une batterie à la maison, je prends des cours, ça me défoule.

Si vous pouviez choisir un don ?
Bruno : celui de la musique, je n’y comprends rien. Et celui des langues aussi, je suis nul.
Vincent : La musique aussi sans doute.

La plus grande qualité de Vincent ?
Bruno : Son professionnalisme, sa disponibilité aussi.
Son défaut : perfectionniste, j’en ai au moins 10 autres, mais je vous écrirai.

Et pour Bruno ?
Vincent : Il a bon goût dans l’humour, il n’est jamais lourd.
Il est calme, on peut discuter de tout avec lui
Défaut : parfois trop vite satisfait.

Entretien réalisé par Flair l’Hebdo.

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Sélection d’avis du public

RE: RE: Les frères Taloche Le 14 décembre 2005 à 14h07

Nous aimerions bien aller les voir. Quelle est la durée de leur spectacle ? Ce serait un bon réveillon de St Sylvestre. Merci de votre réponse. des fans inconditionnels des Frères.

RE: RE: Les frères Taloche Le 12 juin 2003 à 14h24

tout à fait d'accord, cespectacle est génial, il allie à la fois rire, musique play back, et poésie c'est aussi une superbe réalisation de la part de ces deux frères et je ne m'en lasserai jamais...je l'ai déjà vu 3 fois ...bravo les frères taloche et continuez comme ça Céline

RE: Les frères Taloche Le 2 avril 2003 à 18h45

Spectacle génial, original, rire assuré du début à la fin. A voir aussi en famille, les enfants adorent.

Les frères Taloche Le 13 novembre 2002 à 10h46

Convient à tous les ages, humour vif et surprenant. Bonne détente en perspective.

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RE: RE: Les frères Taloche Le 14 décembre 2005 à 14h07

Nous aimerions bien aller les voir. Quelle est la durée de leur spectacle ? Ce serait un bon réveillon de St Sylvestre. Merci de votre réponse. des fans inconditionnels des Frères.

RE: RE: Les frères Taloche Le 12 juin 2003 à 14h24

tout à fait d'accord, cespectacle est génial, il allie à la fois rire, musique play back, et poésie c'est aussi une superbe réalisation de la part de ces deux frères et je ne m'en lasserai jamais...je l'ai déjà vu 3 fois ...bravo les frères taloche et continuez comme ça Céline

RE: Les frères Taloche Le 2 avril 2003 à 18h45

Spectacle génial, original, rire assuré du début à la fin. A voir aussi en famille, les enfants adorent.

Les frères Taloche Le 13 novembre 2002 à 10h46

Convient à tous les ages, humour vif et surprenant. Bonne détente en perspective.

Informations pratiques

Théâtre des Variétés

7, bd Montmartre 75002 Paris

À l'italienne Grands boulevards Vestiaire
  • Métro : Grands Boulevards à 51 m, Bourse à 325 m, Le Peletier à 399 m
  • Bus : Grands Boulevards à 89 m, Richelieu - 4 Septembre à 277 m, Le Peletier - Haussmann à 306 m
Calcul d'itinéraires avec Apple Plan et Google Maps

Plan d’accès

Théâtre des Variétés
7, bd Montmartre 75002 Paris
Spectacle terminé depuis le dimanche 31 décembre 2006

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