Deux hommes se retrouvent pour évoquer le suicide d’un troisième. L’enquêteur cherche un coupable, il tourmente, exige, palpe l’intime, touche avec une férocité que sa fonction permet. L’inquiété comme tous, et comme chaque fois dans ces moments-là, évidemment, n’a fait que dormir. Ils sont trois, deux, un seul, nous sommes à côté d’eux, cette nuit-là, quand l’autre se jette de l’appartement 31.
Ce texte, en forme d'interrogatoire, installe un jeu subtil entre le dit et le non-dit opposant deux hommes dans un rapport de force faussé par la menace sourde de l'abus de pouvoir, à travers la mise en tension du langage qui dissimule, biaise et contraint...
Ce huis clos entre deux personnages part d'une bonne idée mais est un peu long. On ressort angoissé car le propos est juste et que la catharsis opère.
Ecriture subtile et sophistiquée qui aurait gagnée en légèreté. Spectacle un peu long qui manque de respiration, sinon propos percutant et excellent jeu des comédiens
Deux très bons acteurs qui nous tiennent en haleine tout au long du spectacle.
Sous le couvert d’un interrogatoire, les mots nous interpellent. C est une façon originale de dépeindre nos comportements d’aujourd’hui dans nos villes et villages
Pour 4 Notes
Ce huis clos entre deux personnages part d'une bonne idée mais est un peu long. On ressort angoissé car le propos est juste et que la catharsis opère.
Ecriture subtile et sophistiquée qui aurait gagnée en légèreté. Spectacle un peu long qui manque de respiration, sinon propos percutant et excellent jeu des comédiens
Deux très bons acteurs qui nous tiennent en haleine tout au long du spectacle.
Sous le couvert d’un interrogatoire, les mots nous interpellent. C est une façon originale de dépeindre nos comportements d’aujourd’hui dans nos villes et villages
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