Osvald revient chez lui après quelques années passées à errer. Le jeune artiste y retrouve sa mère, Hélène Alving, la jeune bonne pétulante Régine, la prétendue fille d’Engstrand le menuisier et le pasteur Manders. Mais le retour de ce fils prodigue est hanté par l'absence du père dont l'ombre plane sur la maison.
Tous ces revenants font ressurgir le passé, se dévoiler les secrets et se creuser les failles de l’identité.
Une confrontation entre la joie de vivre et la maladie, le bien et le mal, le naturalisme et l'idéalisme.
Voici un auteur qui se fait rare au théâtre, il fallait donc oser. Le propos de la pièce est attrayant et toujours autant d'actualité. Sommes nous donc à jamais prisonniers de notre appartenance à une société et à sa religion, quelle soit politique ou spirituelle? Bien joué. Dans une petite salle, pas facile, j'ai connu en association en province. Un peu plus d'espace permettrait, je pense, un rythme plus soutenu. Bravo aux acteurs et merci à ce petit théâtre de nous offrir Ibsen
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Voici un auteur qui se fait rare au théâtre, il fallait donc oser. Le propos de la pièce est attrayant et toujours autant d'actualité. Sommes nous donc à jamais prisonniers de notre appartenance à une société et à sa religion, quelle soit politique ou spirituelle? Bien joué. Dans une petite salle, pas facile, j'ai connu en association en province. Un peu plus d'espace permettrait, je pense, un rythme plus soutenu. Bravo aux acteurs et merci à ce petit théâtre de nous offrir Ibsen
13, rue du Faubourg Montmartre 75009 Paris