Chorégraphe, danseuse et performeuse, icône de la scène alternative argentine, Marina Otero est le propre objet de sa recherche artistique. Avec Fuck Me, premier volet de son œuvre autofictionnelle, elle ausculte la notion de temps qui passe. À partir de 16 ans. Attention : ce spectacle comporte des scènes de nudité.
À partir de 16 ans.
Avertissement à l'attention du public : présence importante de scènes de nudité intégrale.
Chorégraphe, danseuse et performeuse, icône de la scène alternative argentine, Marina Otero est le propre objet de sa recherche artistique. Avec Fuck Me, spectacle libre et jouissif, premier volet de son œuvre autofictionnelle intitulée Recordar para vivir (Se rappeler pour vivre), elle ausculte la notion de temps qui passe.
Assise en bord de scène, elle convoque cinq « sex-symbols » masculins, vêtus uniquement de bottes et de genouillères, qui s’adonnent à un érotisme de cuir et de latex aussi burlesque qu’électrique. Face à eux, Marina Otero raconte sa vie, traversant l’histoire de l’Argentine, de la dictature à ce jour.
Fuck Me ose presque tout et fascine autant par la virtuosité de sa construction que par sa radieuse irrévérence. Un spectacle détonant qui risque bien de faire trembler les murs du Rond-Point !
Assise en bord de scène, une chorégraphe convoque cinq « sex-symboles » masculins, vêtus uniquement de bottes et de genouillères noires qui, sur fond de musiques explosives ou sentimentales, s’adonnent à un érotisme de cuir et de latex aussi burlesque qu’électrique. Face à eux, Marina Otero raconte sa vie, sa carrière et sa maladie dont résulte une incapacité à danser. Son histoire familiale et artistique, documentée par de petites vidéos artisanales, traverse l’histoire de l’Argentine, de la dictature à ce jour. Une mise en abyme un brin diabolique de la relation entre la mémoire, le corps et la scène
« Avec Fuck Me, Marina Otero clôt avec fulgurance sa trilogie politique. » Les Inrockuptibles
« Provocante comme son titre, la pièce de l’Argentine Marina Otero ne cesse de jouer avec le spectateur jusqu’à son vibrant dénouement. » La Terrasse
« La performeuse argentine Marina Otero, dont la réputation n’est plus à faire, n’a peur de rien. » Télérama
« Elle [Marina Otero] réussit ainsi le tour de force d'abolir toute vue patriarcale, faisant de sa libido une évidence même, éteignant ainsi tout préjugé. […] son propos artistique […] est à la fois abouti et politique. » La revue du spectacle
« une dramaturgie entremêlant gravité et (auto)dérision, comme douleur (mâtinée de plaisir masochiste) et résilience » Libération
Ne pas s'attendre à des chorégraphies très raffinées. Le ressort émotionnel de la pièce repose sur un subterfuge. Une proposition originale au final, malgré tout on passe un bon moment.
Pour 1 Notes
Ne pas s'attendre à des chorégraphies très raffinées. Le ressort émotionnel de la pièce repose sur un subterfuge. Une proposition originale au final, malgré tout on passe un bon moment.
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