Avant-propos
Synopsis
Note d'intention
La presse... et les
précédentes créations
Françoise LORENTE, enfin une comédienne originale, avec une grande présence sur scène, burlesque et inquiétante. Après chacun de ses textes, vous avez envie de lui en demander un autre pour savoir où ses tours desprit, de malice et de télescopage avec les mots vont vous entraîner. "Monologues" et "Soliloques" sont dans un bateau, "Monologues" tombe à leau, quest-ce qui reste : "Soliloques" ! Ceux de Françoise LORENTE, jaime bien.
Jean-Paul FARRÉ
Une femme, Rachel, berce sa fille de quatre ans, Sarah, au rythme dune musique yiddish interprétée par un flûtiste. Elle est interrogée par un inspecteur de police. Un couple a été assassiné au troisième étage de limmeuble. Sous les menaces et le charme de linspecteur Manuel, Rachel lui présente ses voisins, des personnages de sketches ubuesques! Evidemment, ils ont tous un alibi...
Roberta, la femme de Roberto, ne cessait de se lamenter ce soir-là, à la manière
dune certaine Juliette : " Oh Roberto! Pourquoi es-tu Roberto,
Roberto... ".
Marcelle, une femme obèse, et son mari, Marcel, un homme maigrichon, manquaient de se
noyer à la piscine! : " Maigrelet comme il est, pas plus épais quun
sandwich SNCF, avec moi autour, on aurait dit un hot dog! "
Jeanne, médecin, les réanimait tandis que ses enfants, Justin et Justine, les
" jujus ", manipulaient : " Quest-ce que vous
manipulez avec vos petits doigts potelés?... Des gènes! ... Les petits
génies... "
Quand à Rachel, elle voit en Manuel... Samuel, le papa de Sarah, qui est parti et
quelle regrette amèrement : " Un de perdu, dix de retrouvés. Surtout
des comme lui! Tout tordu!... tellement quon devait le tenir des fois, il ne
marchait plus droit. "
Des musiques traditionnelles, interprétées par un flûtiste complice du jeu, rythment la
vie de cette maison de fous.
Linspecteur découvrira-t-il le meurtrier?
Après avoir mis en scène des textes dauteurs tels que Wilde, de Beauvoir, Cocteau ou Genêt, javais envie de me " frotter " à la comédie. A la lecture de " Meurtres au troisième ", jai découvert une pièce originale, dun humour très personnel, dans laquelle la réalité et labsurde sont intimement liés. Je pense que dans la comédie, plus que dans tout autre style théâtral, la direction dacteur et la mise en scène se doivent dêtre à limage dune partition musicale : précise et discrète, afin de disparaître pour mieux laisser apprécier la musicalité des mots et la virtuosité de linterprète. La personnalité de lauteur, de la comédienne, ainsi que celle dun musicien " live " apportant complicité et originalité, ont confirmé le désir de me lancer dans cette aventure.
Michel VOLETTI
Metteur en scène
La presse... et les précédentes créations
Le Quotidien de Paris : " ... Françoise Lorente, petite fille inspirée de Queneau et Pérec. Notre héroïne a du génie et le vent en poupe. Car, si elle possède une plume brillantissime, elle a aussi un don dactrice exceptionnel ". Sabine MAIDA.
Le Point : " Françoise Lorente possède un vrai talent dimagination, une présence forte. Elle "déménage" et emporte son monde là où elle veut. Elle renouvelle le genre du comique féminin. Avant quelle ne figure dans lencyclopédie du non-sens, on peut la voir dans "Je me sens dessus dessous" ". Claude AUBRY.
Lévénement du jeudi : " Françoise Lorente donne libre cours à ses fantasmes dans une série de sketches à textes servis par une palette de mimiques théâtrales. Une valse dassociations de mots et didées à consommer... ". Pierre NOTTE.
Figaroscope : " Une comédienne attachante, mystérieuse, dune subtile beauté, seule en scène pour un "One-woman-show" pas comme les autres ". J. L. JEENER.
Le Cercle des Amis dArte : " Lunivers dans lequel Lorente nous transporte est proche du délire onirique. Les images simposent delles-mêmes. Cette comédienne donne une dimension poétique et théâtrale au comique ".
Le Parisien : " Une nouvelle venue pleine de talent. On apprécie la gestuelle de cette grande jeune femme brune et son aplomb à vous raconter des histoires à dormir debout quelle débite de sa voix précise, juste, à plusieurs registres. ". Sophie CAMBAZARD.
Le Panorama du Médecin : " Chaos sentimental aux urgences. Son humour est parfois déroutant mais jamais racoleur. On la suit dans ses méandres imaginaires, étonnés devant ce monde "sens dessus dessous" ". Sylvia ZERBIB.
Profils médico-sociaux : " Dun mot à lautre, sur un mode surréaliste, Françoise Lorente nous livre un "One-woman-show" dun genre nouveau ".
La Terrasse : " Une écriture très originale et très imaginative. Ce "One-woman-show" est complètement délirant et burlesque. Françoise Lorente sait jongler avec les mots quelle triture, chiffonne, déguste et réorganise à son gré, pour notre plus grand plaisir ". Monique CHARRON.
Paris Boum Boum : " En quête de "One-woman-show" dun genre nouveau? Vous serez bien inspirés daller découvrir Françoise Lorente. Rideau! " Myriem HAJOUI.
Faim de siècle : " Si présenter un corps de liane offre quelques avantages, savoir le faire parler de mots suscités et de mots dits en un jeux décadent, burlesque, voire inquiétant, confine à lexercice de style et à la distinction ". Catherine DESPINOY.
Têtes dAffiches (De Paris) : " Cette femme, la belle Françoise, est du genre douée; elle a écrit cette pièce, "Je me sens dessus dessous". Ce puzzle très drôle nous plaît. ". Philippe NOISETTE.
3, rue Clavel 75019 Paris