Dès 8 ans.
Après Frankenstein, Fabrice Melquiot adapte un nouveau chef-d’œuvre de la littérature anglo-saxonne : Moby Dick. Roman d’aventures, quête initiatique, traité de cétologie, le roman d’Herman Melville – plus de sept cent pages trépidantes, lyriques, savantes, toujours éblouissantes – raconte le périple du capitaine Achab pour se venger de l’immense cachalot blanc qui lui a arraché la jambe au cours d’une chasse.
On est projeté, à bord du baleinier Le Pequod, dans l’immensité des océans. Avec Ishmaël, Queequeg, Starbuck et Achab, on prend le large, dans l’espoir de voir surgir des profondeurs le front ridé du monstre.
Ici, tout est suggéré avec finesse et poésie : on est en mer comme face à l’écran d’un vieux cinéma, dans une salle de bal comme au fond d’un aquarium. Le théâtre de Matthieu Cruciani déploie ses métaphores et joue avec les échelles ; on suit les personnages avec délectation et au bout du suspens, on retient son souffle pour se demander : et moi, où est-ce que je me situe dans l’univers ? Qui me retournera le cœur comme la baleine blanche a retourné celui d’Achab ?
C’est mêler le souffle littéraire de Melville à la langue contemporaine, vivante de Fabrice Melquiot pour en faire une œuvre accessible aux enfants, mieux rêvée pour eux. C’est une invitation au voyage dans l’imaginaire que créateurs et spectateurs vont se lancer.
Comment ce spectacle peut il être sélectionné dans une salle de cette envergure ? Les acteurs savent leur texte mais aucune émotion ne ressort. Cela vient certainement à la fois du texte, de la mise en scène, et des acteurs. Ce qui est certain c'est qu'on rentre chez soi très déçu pour ne pas dire irrité. Pauvre Sharif Andoura mêlé à ce spectacle si peu artistique, lui, si subtil dans son spectacle de Al Atlal (vu dans ce même theatre de Sartrouville) ainsi que dans Joyce (à la cartoucherie)
Comment ce spectacle peut il être sélectionné dans une salle de cette envergure ? Les acteurs savent leur texte mais aucune émotion ne ressort. Cela vient certainement à la fois du texte, de la mise en scène, et des acteurs. Ce qui est certain c'est qu'on rentre chez soi très déçu pour ne pas dire irrité. Pauvre Sharif Andoura mêlé à ce spectacle si peu artistique, lui, si subtil dans son spectacle de Al Atlal (vu dans ce même theatre de Sartrouville) ainsi que dans Joyce (à la cartoucherie)
Place Jacques Brel 78505 Sartrouville