La virtuosité de Lisa Batiashvili dans Beethoven et les cordes munichoises pour Schubert et Wagner.
Beethoven Concerto pour violon op. 61
Schubert Symphonie no 8 D. 759, Inachevée
Wagner Prélude et Liebestod, extraits de Tristan et Isolde
On l’avait découvert – et admiré – avec le Philharmonique de Rotterdam où il avait succédé à Yannick Nézet-Seguin. On le retrouve aujourd’hui avec autant de bonheur à la tête de l’historique Philharmonique de Munich, l’une des plus anciennes et expérimentées formations allemandes, succédant ainsi à tout juste 35 ans à Sergiu Celibidache, James Levine, Christian Thielemann, Lorin Maazel et Valery Gergiev. De quoi en faire trembler plus d’un mais pas ce jeune maestro à qui tout réussi.
En avant-goût de l’Inachevée de Schubert et des extraits symphoniques extraits de Tristan et Isolde, la violoniste Lisa Batiashvili ouvrira la soirée avec l’unique concerto de Beethoven pour cet instrument, une pièce virtuose qui accompagne son parcours depuis longtemps et qu’elle a récemment enregistré pour Sony.
15, avenue Montaigne 75008 Paris