Le corps féminin et ses représentations tant archaïques que contemporaines ont inspiré cet « opéra de poche » en deux actes pour deux danseuses et deux musiciens.
On assiste à la transformation de petites bonnes femmes repliées sur elle-même, vers le déploiement des corps, gorges ouvertes. En quittant une succession de masques et de peaux, elles seront ogresses, sorcières, accoucheuses, pour se projeter dans l’univers désincarné du prototype féminin contemporain.
Chorégraphie et interprétation : Marianne Rachmuhl et Nathalie Tissot
Musique : Jean-Paul Buisson et Anaïs Le Marchand
Scénographie et images : Andrés Montalvan
Cie Agma.
210, rue de Belleville 75020 Paris