Cap au nord ! Voici l’Ecosse de Mendelssohn, la Finlande de Sibelius et deux œuvres légendaires : l’une alpestre, l’autre un tantinet plus slave. En 1877, Brahms a atteint la maturité. Il avait passé près de vingt ans à achever sa première symphonie, mais cette fois, inspiré par les sommets des Alpes autrichiennes, il compose la deuxième en un unique été. Dvořák, lui, trouve l’inspiration de son concerto pour violon dans le riche patrimoine mélodique de sa Bohême natale, et va donner naissance à l’un de ses chefs-d’œuvre, monument de fougue et de virtuosité. Une soirée conçue comme un voyage dans des contrées lointaines, qui permet à Lars Vogt et à Christian Tetzlaff, partenaires musicaux de longue date, de retrouver leurs compositeurs de prédilection et de partager avec l’orchestre leur complicité de chambristes.
Mendelssohn Les Hébrides ou La grotte de Fingal, op. 26
Sibelius Sérénade op. 69 n° 2
Dvořák Concerto pour violon op. 53
Sibelius Sérénade op. 69 n° 1
Brahms Symphonie n° 2 op. 73
15, avenue Montaigne 75008 Paris