La pièce PITCHIPOÏ, adaptée du livre de Ruth Klüger « Refus de témoigner », raconte l’expérience radicale d’une petite fille juive indocile vivant à Vienne.
Elle se retrouve à Pitchipoï alors qu'elle n'a que 12 ans. Elle nous raconte ce qu'elle a vécu à travers son regard d'enfant.
La pièce PITCHIPOÏ, adaptée du livre de Ruth Klüger Refus de témoigner, raconte l’expérience radicale d’une petite fille juive indocile vivant à Vienne.
Pendant la guerre, elle est déportée à Auschwitz d’où elle réussit à s’enfuir avec sa mère.
Toute la force de ce récit est de nous faire entendre et voir la volonté irrésistible de cette petite fille de survivre.
Avec la Compagnie Les Illuminations Jacky Katu.
« Au fil de tableaux enchainés dans la mise en scène au cordeau de Jacky Katu, les situations les plus concrètes surgissent. Avec son regard buté, son souffle qui change de rythme Fabienne Babe accomplit ce voyage dans la mémoire avec une intériorité prometteuse. Pour mieux nous mettre en garde! » Télérama, TT
« Fabienne Babe est l'enfant dans une interprétation étonnante de candeur et de force mêlées. Elle est saisissante de vérité. Entrecoupé d'intermèdes chorégraphiques et illustré de quelques images d'époque le spectacle est d'autant plus frappant. Un spectacle aussi singulier que marquant. » Froggy's Delight
« Fabienne Babe nous fait ressentir le trouble, la peur mais surtout la détermination de cette enfant, son désir de vivre envers et contre tout. Les chorégraphies montrent l'état d'esprit de la petite, la mécanique implacable qui déshumanise. Les lumières, les musiques tout nous emporte. » Les Chroniques d'Alceste
« Pitchipoï désigne en yiddish un monde imaginaire perdu au milieu de nulle part. La pièce retrace la vie d’une petite fille juive de Vienne qui se retrouve à Auschwitz avec sa mère. L’histoire est poignante, le texte est fort et pourtant on s’autorise quelques sourires malgré le contexte. Fabienne Babe est excellente dans la mise en scène magistrale de Jacky Katu. » La Provence
« Une enfant révoltée face à la mort programmée. Fabienne Babe lumineuse incarne cette gamine forte et émouvante. Une première pour elle. Un coup de maitre. » Vaucluse
« Cette petite fille est admirablement interprétée par Fabienne Babe. Elle joue à la fois avec sa voix et son corps. Sur scène, pas de décor, un plateau nu, seulement cette comédienne qui va pendant plus d’une heure nous envoûter et nous émouvoir. Fabienne Babe actrice de cinéma a à son actif plus d'une trentaine de films avec de grands metteurs en scène tels Les frères Dardenne, Ken Loach, André Téchiné, Jacques Rivette, Maurice Pialat... » Regards
« C’est une Fabienne Babe à la fois sombre et lumineuse qui pense, se révolte, célèbre la vie coûte que coûte dans un monde d’atrocités refusant la proposition de sa mère d’en finir en se jetant sur les fils électriques. » L’Echo du Matin
« C’est une force de la nature qui s’exprime sur les planches à travers la voix de Fabienne Babe. Les différentes péripéties au cœur de l'enfer hitlérien se vit en musique. Le spectateur est emporté vers un voyage spatio-temporel sans nom au rythme des styles musicaux. Dans cette pièce à l’architecture très étudiée sont distillés des éléments de fantaisie qui l’allègent et laissent souffler le spectateur. » Kiss City
« "Je ne vais pas mourir maintenant". Cette pièce est un symbole d’espoir. Cet espoir qui ne quittera jamais la petite fille et qui l’aidera à tenir, à soutenir l’insoutenable. » Selection Sorties
« Remarquable ! Vous resterez abasourdi autant qu’ébahi devant cette interprétation venant à faire revivre la voix et l’esprit de cette enfant au destin tragique. Cette pièce vous donnera à entrevoir l’horreur de la bêtise humaine et vous fera ressentir toute l’imprégnation que chacune de nos expériences peut avoir sur nous-même et le vivant. » Aurélie Courteille, Revue-Spectacle
« Fabienne Babe nous bouleverse par son jeu engagé, puissant et chaleureux qui réussit la performance de nous projeter dans l’âme de cet enfant. Une performance exceptionnelle et remarquable. » Arts Culture Evasions
« Fabienne Babe transmet au spectateur tout l’énergie, la lucidité et l’indocilité de cette petite fille qui a survécu à la barbarie nazie. Cette pièce raisonne aujourd’hui avec l’actualité en Ukraine, en Syrie et dans bien d’autres pays soumis à la dictature. » Theatoile
« Une pièce remarquable. Fabienne Babe incarne à merveille cette petite fille, ses peurs, son désespoir, sa furieuse envie de vivre. Cette pièce qui mêle chant, danse et gestuelle maitrisés est une prouesse exceptionnelle pour un sujet très difficile. Pitchipoï est la voix de ce que l’on ne devra jamais oublier. » Watercolorandbooksparis
« Fabienne Babe somptueuse et poignante dans Pitchipoï. Elle a la même énergie que sa petite héroïne et elle est magnifique d’un bout de la pièce à l’autre. C’est une pièce très physique, d’une grande tension. L’adaptation de Jacky Katu est remarquable de finesse et d’émotion pour évoquer l’indicible. » Greta Garbure
J'avoue être fort décontenancée par cette approche. Certes, la comédienne a un ressenti très fort pour son sujet, toutefois je reconnais n'avoir pas compris la manière dont le thème a été traité. Pourquoi un si long passage Disney, pourquoi à l'opposé de si brefs et saccadés graphismes et chorégraphie stylisés ? Le choix musicale m'a également laissé perplexe car le répertoire culturel des victimes pouvait accompagner la souffrance et le désespoir de manière plus intime. Enfin, le superbe bouquet final était il un hommage aux disparus ou un sourire d'espoir vers l'avenir ? Je le reconnais, et j'en suis désolée, mais je n'ai manifestement pas saisi l'approche.
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J'avoue être fort décontenancée par cette approche. Certes, la comédienne a un ressenti très fort pour son sujet, toutefois je reconnais n'avoir pas compris la manière dont le thème a été traité. Pourquoi un si long passage Disney, pourquoi à l'opposé de si brefs et saccadés graphismes et chorégraphie stylisés ? Le choix musicale m'a également laissé perplexe car le répertoire culturel des victimes pouvait accompagner la souffrance et le désespoir de manière plus intime. Enfin, le superbe bouquet final était il un hommage aux disparus ou un sourire d'espoir vers l'avenir ? Je le reconnais, et j'en suis désolée, mais je n'ai manifestement pas saisi l'approche.
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