Meilleur « one man show » - Molières 2002
Philippe, me dit un jour Shakespeare, voudriez-vous que nous soyons tous deux gamins éternels ?
Et Shakespeare m'entraîne dans un voyage, où le professeur de philo invite Einstein à s'exprimer sur "le fantôme de Shakespeare" qui est quantique où l'on joue avec avec des accessoires chers aux Elizabethains : la lettre, l'épée, le crâne. Où les masques disent, chacun à sa manière leur admiration pour Shakespeare revenu en chair et en os dans le théâtre et où le maître lui même vient à la fin remercier son public et dire quelques mots. Comme Prospéro, sur les esprits, le rêve, l'univers.
J’avais construit une première version de mon spectacle à venir, L’Illusion du théâtre, qui était une variation sur le théâtre, ses mystères... Par hasard, le temps s’est ouvert devant moi comme une clairière et je me suis retrouvé avec Shakespeare. Pendant quelques mois avec lui, je suis devenu "gamin éternel". Puisse cette seconde version de L’Illusion du théâtre garder un reflet de cette rencontre...
Philippe Avron
"Philippe Avron, septuagénaire à l’éternelle jeunesse, délivre, l’air de rien, les vérités les plus belles, les plus profondes sur Shakespeare et le mystère de la représentation." La Croix
5, rue des Vignes 75016 Paris