Nikolaï Lugansky nous propose une soirée on ne peut plus romantique.
De l’intimité feutrée des Romances sans paroles de Mendelssohn à l’extatique Mort d’Isolde transcrite par Liszt – Höchste Lust : « Félicité suprême ! » –, Nikolaï Lugansky nous propose une soirée on ne peut plus romantique. Outre un célèbre Nocturne, Chopin, qui accompagne notre saison, s’invitera à travers deux Ballades. A savoir la Troisième, souvenir du bel été 1841 passé sous le soleil de Nohant, et la très narrative Quatrième qui, l’année suivante, chemine vers d’autres méditations. Dans la tradition des virtuoses du passé, le Russe nous offre aussi un billet pour Bayreuth en arrangeant personnellement quelques extraits du Crépuscule des dieux, dernier volet de la tétralogie de Wagner. De quoi mettre le feu au Walhalla !
Mendelssohn : Six Romances sans paroles (opus 19 n°1, opus 38 n°6 « Duetto », opus 67 n°4 « Spinnenlied », opus 67 n°6 « Wiegenlied », opus 67 n°2, opus 85 n°4)
Chopin : Ballade n° 3 op. 47, Nocturne op. 27 n° 2, Ballade n° 4 op. 52
Wagner-Lugansky : Le Crépuscule des dieux (transcription pour piano de Nikolaï Lugansky)
Wagner-Liszt : Mort d’Isolde, extrait de Tristan et Isolde (transcription pour piano S. 447)
15, avenue Montaigne 75008 Paris