Richard Galliano Septet - Piazzolla Forever

Un concert-hommage magistral et résolument moderne
La presse

• Un concert-hommage magistral et résolument moderne

Celui qui a redonné ses lettres de noblesse à l'accordéon en créant le "new musette" a voulu célébrer la musique de son "maître, ami et confident", Astor Piazzolla. Pour cette aventure qui triomphe depuis quatre ans dans les plus grands festivals à travers le monde, Richard Galliano s'est entouré d'un quintet à cordes classique et d'un pianiste de jazz.

Ensemble, ils passent des transes mélodiques étirées à l'improvisation. Et tout le contraste du répertoire de Piazzolla, qui a revisité le tango en lui mariant jazz, classique, rythmes populaires et musiques savantes, tradition occidentale et racines argentines, renaît dans un jeu sans cesse renouvelé entre tension et détente, passion et désespoir.

Un concert magistral et résolument moderne à travers les rythmes sensuels du tango et ses évasions bouleversantes.

Quatorze ans après la mort d'Astor Piazzolla, Richard Galliano lui rend hommage avec son projet Piazzolla Forever. On peut y entendre un thème de Galliano et dix de Piazzolla.

Il ne s'agit pas de réarrangements. Richard Galliano y change les orchestrations originales du maître argentin du Tango Nuevo en remplaçant la guitare par le violoncelle et l'alto. Les œuvres pour grand orchestre y sont sensiblement réduites.

L'accordéoniste s'est entouré de musiciens classiques pour former son septet.

Pour Richard Galliano, la musique de Piazzolla s'apparente à la musique baroque : tout n'est pas écrit et pourtant cela requiert de l'ornementation plutôt que de l'improvisation. Cette aventure musicale, l'accordéoniste la partage sur toutes les grandes scènes d'Europe et d'ailleurs, où le septet rencontre un succès immense.

La musique de Piazzolla est à la fois populaire, dansante et très rigoureuse. Cela lui donne cette force, cette puissance émotive que Richard Galliano nous offre avec toute sa générosité, son écoute pointue et son respect pour l'esprit de cette musique argentine, devenue incontournable.

Accordéon, bandonéon : Richard Galliano
Piano : Hervé Sellin
Violon solo : J.M. Phillips-Varjabédian
Second violon : Sébastien Surel
Violon alto : Jean-Marc Apap
Violoncelle : Henri Demarquette
Contrebasse : Stéphane Logerot

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• La presse

"Richard Galliano a rencontré Astor Piazzolla (1921-1990) à Toulouse, capitale française du tango, alors qu’il était directeur musical de Claude Nougaro. Pour son disque, il a privilégié les compositions des années 70, portées par une tension dramatique presque oppressante, une densité rythmique que le groupe (…) restitue jusqu’au vertige." Libération

"A l’accordéon et au bandonéon, Galliano saisit le secret de la musique de Piazzolla : le contraste. C’est un jeu sans cesse renouvelé entre la tension et la détente, le calme et la frénésie… la passion et le désespoir." L’Express

"Richard Galliano entend rendre hommage à celui (…) dont il devint l’ami. (…) Dans le tango de toujours, musique et danse, nul besoin de mots, Señor." Jazz Magazine

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