Un opéra de poche
Il associe un comédien Henri Mariel qui fait entendre la voix de Rilke dans un dialogue avec le public, une intimité de correspondance
Une chanteuse Barbarie Crespin, de formation lyrique qui représente la poésie de Rilke. Le livre de la pauvreté et de la mort.
Un pianiste (Gérardo Jerez Le Cam) qui noue l'ensemble du spectacle sur une partition originale de Gerardo Jerez Le Cam.
Mise en scène
Passer donc du lieu intime de la lecture à la transmission d'une voix : celle de Rilke ou bien cette voix que l'on construit en nous. Cette conviction -toujours pour paraphraser Rilke- qu'il n'y a de liberté que dans la vérité de notre propre accomplissement, c'est la mienne, autour de la mise en scène des Lettres à un Jeune Poète.
Mon souci est de faire entendre la poésie de Rilke par la lecture des lettres à un jeune poète et la mise en musique de poèmes tirés du " Livre de la Pauvreté et de la Mort " ; également de restituer les facettes complexes du poète en utilisant les textes des Carnets de Malte.
Le metteur en scène, dramaturge Arthur ADAMOV souligne : " Rilke écrivit Le livre de la Pauvreté et de la Mort lors de son premier séjour solitaire à Paris en 1903 conjointement aux carnets de Malte Laurids Brigge. Le cahier biographique et le livre de vers ne font qu'exprimer l'unité profonde d'une même hantise essentielle " .
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