Respectant le théâtre élisabéthain, où tous les rôles étaient tenus par des hommes, l’amour sans limite de Roméo et Juliet se joue dans les coulisses d’un théâtre. Un théâtre à nu où les loges ainsi que la machinerie sont visibles par le public.
Les feux de la rampe s’inspirent d’un concert de rock dans le swinging London, autant que des poussières d’étoiles.
D’inspiration pop et glam rock, la musique fait écho aux turbulences, au chaos et aux jouissances du sentiment amoureux.
Adaptation : Alain Sizey et Vincianne Regattieri
Direction musicale et composition : Vincent Heden
« Scéniquement, un Roméo & Juliet interprété par des hommes, ça a de l’allure. Vincianne Regattieri entend mettre le feu aux poudres de cette comédie romantique, dans un corps à corps drolatique où tous les personnages grimés et volontiers grotesques assument leur animalité au chevet d’une histoire d’amour extraordinaire. » Evelyne Trân, Lemonde.fr
« Et quelle belle idée de confier le rôle de Juliet à Sinan Bertrand, dont le timbre clair, la diction et l’éloquence apportent beaucoup à l’élégance sereine de son personnage. [...] il impose sa grâce fragile face au bouillant Roméo de Lucas Anglarès, magnifique de conviction et d’autorité dans la rage contenue des derniers instants. À ses côtés, Léo Messe parvient à rendre crédible un solide Frère Laurent, tandis que Christophe Bonzom pourra agacer dans le rôle difficile et omniprésent de la Nourrice, tour à tour comique ou bavard en travelo décervelé. Rien à dire en revanche concernant les multiples rôles interprétés par l’impeccable Lauri Lupi ou par Alexandre Bonstein, au regard délicieusement charmeur et facétieux. » Florent Coudeyrat, Les Trois Coups.com
« Quand les comédiens débarrassent le décor et reviennent, comme au début, plus proches d'eux-mêmes que des personnages qu'ils ont fait vivre durant deux heures devant nos yeux, on est ému. On a le sentiment, j'y reviens, d'avoir assisté à du beau et grand théâtre. Lucas Anglarès en Roméo et Sinan Bertrand en Juliette sont excellents. Ils collent à leurs rôles. Tous les autres sont très bien aussi, mais une mention spéciale à Christophe Bonzom grandiose en nourrice. » Gérard Noel, Reg'Arts
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